Sections du site
en Octobre 2009 :
Ajouts successifs d’articles -- Sujets d’articles à traiter – Pour
publier -- Post-Polio -- L'aide à domicile -- Internet et Handicap
-- Informatique jusqu’à 100 ans – Etre en lien -- L’animal de compagnie
-- Histoires de vie --
Donner sens à sa vie – A 85 ans aller de l’avant -- Tous
chercheurs -- Liens – Le webmestre.
RETOUR A LAPAGE
D’ACCUEIL :
CLIC AUTEURS, TITRES
DE TOUS LES ARTICLES : CLIC SYNTHESE GENERALE: CLIC
°°°°
Juillet 2013
MES ANIMAUX DE
COMPAGNIE ET MOI. XXV. PAPRIKA, CHIEN TECKEL.23. '' TOUT A UNE FIN,VOICI LE
DERNIER EPISODE DU RECIT DE JULIET SUR SES ANIMAUX.
LA CONCLUSION EST EVIDENTE: LES ANIMAUX SONT DES
MAITRES DE VIE''.
Juliet HAAS, h.juliet1@rambler.ru
Cet
article est le vingtième cinquième et dernier épisode d’un récit de Juliet
remontant à sa petite enfance, et relatif à ses animaux de compagnie.
On
en atteint le déroulement depuis la fin de ce texte : CLIC
Je
me mis dans mon lit,et elle
posa son museau près de ma tête.
Son haleine sentait toujours
la bruyère.
J'éteignis la lumière,et je
m'endormis.
Je n'avais à ma disposition
pour faire courir Vanka que le grand parc...où Ultra
avait trouvé la mort.
L'idée d'y retourner avec elle était plus que pénible: j'avais peur qu'il ne
lui arrivât la même chose!
Je pris mon courage à deux mains,et
j'y allai.
Je rencontrai le maître de Blacky,avec
son chien,surpris de ne m'avoir pas vue depuis si longtemps,et de me retrouver avec une autre chienne.
Je lui racontai toute l'histoire.Il m'écoutait attentivement,me dit des paroles réconfortantes,et me félicita d'avoir pris une nouvelle chienne,qu'il qualifia de ''très joli modèle''.
Vanka avait l'air de plaire à Blacky,et ils marchaient tous les deux.L'on
aurait dit qu'ils parlaient.Blacky faisait ''oui'' de
la tête pendant que Vanka lui tenait des discours,que,cette fois,je
n'entendais pas.
De jour en jour,les deux
chiens devenaient de plus en plus complices.
J'osai même demander au Monsieur pourquoi Blacky
avait perdu une moitié de sa queue,ce
que je n'aurais jamais osé faire avant.
Il m'expliqua,qu'à la campagne,Blacky,en plus de la
maison,avait à sa disposition une grande niche,construite sur une petite terrasse.
Entre la terrasse et le sol,il
y avait un espace.
Blacky adorait monter la garde de la maison depuis
cette niche.
Un jour,il était couché,sur sa terrasse,sa queue
repliée sous l'espace.
Tout à coup,il entendit
quelque chose,et,oubliant sa position,il
se leva d'un coup pour aller aboyer.
Et ce furent des hurlements qui remplacèrent les aboiements.
Son maître,affolé de
l'entendre crier,se précipita à son secours,et se rendit compte que la queue avait été cassée
en deux,comme un bout de bois.
La fracture était ouverte,il
perdait du sang.
Le vétérinaire ne put que couper la queue à l'endroit de la cassure,et il cicatrisa vite.
Cette particularité lui donnait un charme indéniable.
Vanka lui ressemblait,l'on eut dit le père et la fille.
Tous les jours,je
rencontrais Blacky et son père,mais
je ne vis plus jamais,ni Virgile,ni
ses maîtres.
La jeune femme avait été si traumatisée de la disparition d'Ultra,pensai-je,quelle ne pouvait plus venir dans ce parc:
je ne vois pas d'autre explication.
Avec Vanka,je jouais à la balle.
Je la lançais,elle
rapportait.
Elle ne s'est laissée distraire par d'autres chiens
qu'une seule fois.
En me rapportant sa balle,elle
la lâcha pour aller jouer avec un chien.
Je n'eus qu'à lui dire ceci:
''Vanka,je ne veux pas que
tu lâches ta balle pour aller jouer avec un chien.
Tu me la rapportes avant,s'il te plaît,et tu ne vas jouer que
si je suis d'accord''.
Et c'est ce qu'elle fit,tout
de suite,et pour toujours.
Je choisissais ses camarades,de
préférence minuscules,vieux,et plutôt rhumatisants,pour ne pas qu'il lui arrive la même chose
qu'à Ultra!
Et elle avait l'air ravie de mes choix.
Je lui disais aussi:
''Vanka,si tu vois un banc
qui te convient mieux que celui que je choisis,tu me
le dis''.
Et,souvent,lorsque
je choisissais un banc,elle allait vers un autre.
Elle comprenait tout,comme
un humain,à tel point que les jouets que je lui donnais,à la maison,étaient
...des livres de philosophie!
Elle avait un os à moelle,sa
balle,et ses livres de philosophie,qu'elle
lisait à tour de bras!
Cet hiver là fut particulièrement froid,et
Vanka attrapa une très sérieuse gastro-entérite,pour
laquelle elle dut être hospitalisée quelques jours.
Cette gastro-entérite fut le premier ennui de santé d'une longue série qui dura
toute sa vie.
Vanka rentra à la maison,mais elle avait toujours la
diarrhée.
Je ne savais plus quoi faire pour la lui faire passer.
De plus,elle avait
considérablement maigri,et elle refusait toute
nourriture.
Elle restait assise devant son assiette,et
détournait son regard.
Mais les vétérinaires ne comprenaient pas ce qu'elle avait.
J'allai chez le boucher,j'essayai toutes les
meilleures viandes possibles,steack,rumsteack,faux-filet,filet,viande
à fondue,gigot,côtelettes d'agneau,de
porc,de veau,poulet,dinde,cailles rôties...Je tentai le poissonnier:soles,bars,rougets,lieu jaune,lieu noir,cabillaud,langoustines,crabes,araignées
de mer,langoustes,homards,crevettes
roses,grises,toute la mer y est passée!
Je tentai de mélanger avec des haricots verts frais,des
carottes,des pâtes,du riz,j'essayai encore d'assaisonner,ail,fines
herbes,sel de Guérande,fleur
de sel de Vendée,épices divers,herbes
aromatiques,sauces exquises...
Je tentai les charcuteries les plus fines,le
caviar rouge,le caviar noir,les
pâtisseries,toutes les plus grandes spécialités des
meilleures maisons...
Je tentai la cuisine chinoise,la
cuisine japonaise,la cuisine indienne...
Rien n'y faisait.Rien.
Mademoiselle de la Buffotière était devenue anorexique,et elle dépérissait
dangereusement.
Vanka allait mal.
Mais il était impossible de savoir d'où cela venait,les vétérinaires ne trouvaient rien.
Je pris la décision de la nourrir à la main,comme j'avais fait pour Moon,au
tout début.
Elle avalait,et ne vomissait
pas.
Mais quel travail!Elle en mettait partout!
Ses molaires appuyaient sur mes mains,qui
se tuméfiaient,cela,deux fois par jour.
Elle était toujours aussi sérieuse,et
nous allions tous les jours au parc,où elle courait
après sa balle,ou conversait avec Blacky.
Au fil des mois,son anorexie
durait,son poil était terne,et,peu
à peu,elle se mit à se dépiler sur les flancs.
J'avais honte de sortir avec elle,les
gens se retournaient,quelques uns faisaient des
réflexions désagréables,pensant que je la
maltraitais.
C'était horrible.
Mais je tenais bon.
Comme elle était très maigre,j'entendais des ''vous
pourriez la nourrir,votre chienne'',ce à quoi je
répondais invariablement:''ce n'est pas interdit
d'être malade!'',réponse,qui,Dieu merci,renvoyait
à ces délicats personnages l'opprobre qu'ils avaient tenté d'étendre sur moi,comme une couverture sale et puante.
Mais,en fait,les
dépilations m'avaient donné l'espoir d'un diagnostic,et
je retournai à la clinique.
En effet,j'avais eu le chagrin de voir Mme R. partir à la retraite,et j'avais trouvé une clinique,ouverte
jour et nuit,où Vanka avait
tout son dossier médical.
On lui fit des analyses,et
on lui trouva-enfin- une hypothyroïdie,pouvant tout expliquer,selon le Docteur.
Elle prenait son cachet d'hormones thyroïdiennes tous les jours,bien sagement.
J'eus l'idée,afin de la
guérir-les médicaments palliant le déficit,mais ne
guérissant pas-,de l'emmener chez Mme P.
Elle prit tout aussi gentiment ses granules.
Si,par hasard,j'oubliais
de lui donner ses médicaments à l'heure,elle me les
réclamait.
Les poils commencèrent à repousser,mais
son anorexie ne passait toujours pas.
Lorsque je devais jouer en concert,je
prenais l'avion le jour-même,et je rentrais le lendemain,pour ne pas la laisser seule.
Top n'était jamais là,et
elle était ma seule compagnie,avec Mélusine,qui avait tourné caractérielle,comme
dans sa jeunesse,depuis le décès de Paprika.
Mes journées étaient simples,ennuyeuses,tristes,et les
soirées avec Top,tout aussi tristes,mornes,sans
relief,sans éclat,sans rires,ou,alors,mondaines.
J'étais obligée de jouer la parfaite maîtresse de maison,alors que je ne savais pas faire la cuisine.
Je ne devais jamais me montrer deux fois de suite avec la même robe,et tout ce fatras n'avait
rien à voir avec moi,avec qui j'étais.
J'en devenais aigrie.Je détestais ce genre de vie superficielle,c'était
horrible pour moi.
Top croyait faire mon bonheur,je
m'enfonçais dans la mélancolie.
Le vide créé par la disparition de Paprika me mettait en face d'un vide encore
plus grand,un trou noir dans
lequel je me noyais,et dans lequel la jalousie de
Paprika se complaisait et faisait son travail de sape entre moi et Top,à mon insu,sans que je m'en
rende compte.
Encore une fois,Paprika était en train de
gagner contre son rival,dont je me détachais tout naturellement,et,au fil des mois,mon
couple se termina.
C'est alors que Paprika
recommença à se manifester,en
me volant des objets,me les rendant peu après.
Un jour,je m'aperçus que j'avais perdu une petite gourmette.J'en fus très étonnée,car
je ne pouvais pas l'enlever,vu que le taquet de son
fermoir était cassé et que je ne pouvais donc plus l'ouvrir.Je
pensai qu'elle était peut-être usée et qu'elle s'était cassée,ou
que,plutôt,Paprika était derrière cette disparition.
Je dis alors à Paprik:''si c'est toi qui me l'a prise,rends -la moi dans un mois,s'il
te plaît!''
Un mois après,jour pour jour,je la
retrouvai...sur le tableau de bord de ma voiture,le
fermoir ouvert,comme mâchouillé par un petit chien!
Je n'en revenais pas,comment cette gourmette
était-elle arrivée là? Comment le fermoir s'était-il ouvert,comment pouvait-il être dans cet état?
Alors que je me questionnais,j'eus
une sorte de lien télépathique complètement impersonnel qui me demanda de
''changer le fermoir et de faire disparaître ''la preuve''!
C'est ce que je fis,et je ne pus donc jamais
montrer à personne ce fermoir mâchouillé par le spectre de mon petit Paprika.
Vanka vécut un peu plus de dix ans,après elle j'eus un Barzoï,Jaroslav, qui m'apprit le russe par télépathie,et qui me fit rencontrer l'homme de ma vie,qui est russe,avec lequel je
pus parler grâce à l'enseignement de Jaroslav!
Paprika n'a rien tenté contre lui,au
contraire: souvent il lui vole des objets pour les lui restituer après,et...il s'est matérialisé plusieurs fois,et nous avons pu le voir ou l'entendre renifler!Mélusine a fait de même,nous
l'avons aperçue plusieurs fois!
J'eus aussi un chat Persan Colourpoint crème extraordinaire,qui me dicta littéralement le dernier poème d'un
recueil que je mis une trentaine
d'années à écrire.
Depuis,j'ai eu d'autres chiens,d'autres chats,mais je
n'ai plus eu l'impression d'avoir des relations ''hors norme'' avec eux.Je suppose que je me suis tellement habituée à
comprendre ce qu'ils me disent,que je n'ai plus
besoin de ''mots'' pour communiquer avec eux.Mais je
peux toujours affirmer que les animaux
sont comme nous,pleins de sentiments et d'intelligence,et que,si nous les
respections comme ils devraient l'être,en les
considérant comme nos égaux,eux en seraient beaucoup
plus heureux...et nous aussi.
Comme nous,ils ont des organes,des sens,les mêmes organes et les mêmes sens que nous,complètement pour les mammifères,à
peu de choses près pour les autres familles.
Tous les animaux,qu'ils soient sauvages ou domestiques ont,comme nous,besoin d'amour.
C'est l'amour la clé du divin,et le divin la clé de
l'amour.
Il y a quelques années,j'ai
perdu un ami très cher.A son décès,j'ai
récupéré sa petite chienne Coton de Tuléar,que j'ai
gardée jusqu'à sa mort.
Son maître,qui était musicien,se
manifestait souvent à moi en faisant de petits bruits,ou
en tapant des airs de musique sur des jeux de casseroles!
Souvent,avant ces manifestations,la
petite chienne se mettait debout sur ses pattes arrières,se
mettait à humer l'air,et refusait de me suivre si je
l'appelais,comme attirée par un aimant,puis,les
manifestations se faisaient entendre.L'homme est très
sceptique en ce qui concerne l'irrationnel,moi pas.Pourquoi? Grâce aux animaux.
Si l'on observe les animaux,l'on peut aussi apprendre
à vivre...et à mourir.
Toute leur vie se déroule
sous nos yeux,de la
naissance à la mort,comme un ruban précieux,unique,et philosophique.
La façon dont les animaux
prennent la maladie et la mort est une leçon de vie pour nous,pauvres humains prisonniers de notre langage,de nos principes,de nos croyances,et de notre ''science''.
Les animaux se savent mortels,contrairement à ce que
l'on dit généralement.Lorsque l'un d'entre eux va décéder,les autres le savent avant nous,et
avant les vétérinaires.Ils font tout pour sauver leur
petite vie,même un moucheron s'envole s'il sent une
main prête à l'écraser.Ils font le mort si un
prédateur les menace! Mais ils savent aussi,sûrement,que leur âme est immortelle,ce qui explique leur attitude si tranquille
lorsqu'ils sont en train de partir pour l'autre monde.
S'ils en ont la possibilité,ils partent souvent se
cacher pour vivre ce passage dans toute sa plénitude.
J'ai moi-même failli mourir.Me trouvant ballotée sur une civière à demi-inconsciente,je me suis
calmée en pensant aux chiens mourants,en pareille
situation dans une clinique vétérinaire.Je me suis
souvenue qu'ils se laissent faire,tranquillement,et
j'ai fait de même.
Si je ne les avais pas bien observés,en pareil cas,j'aurais pu être dévorée par l'angoisse.
Par-contre,aussi désagréable que cela puisse être,l'on
est encore bien vivant,car,lorsque la mort nous prend
dans ses bras,nous embrasse,c'est
le meilleur moment que l'on puisse vivre avant de passer de l'autre côté.Dans mon cas,ce moment
exquis fut suivi par une NDE (expérience de mort imminente).
Il y a un dicton qui dit:
''les livres sont nos meilleurs amis''.
J'en inventerai un autre,tout aussi vrai: ''les
Animaux sont nos meilleurs amis''.
Note : Juliet se
verrait bien être l’auteur d’un ou plusieurs ouvrages autour de vaste thème de
notre relation à l’animal de compagnie, tout au long de la vie. Qui aurait des
connaissances intéressées dans le monde de l’édition, serait très aimable
d’établir le contact avec Juliet
Retour en
tête de texte : CLIC
Episodes précédents
du cheminement de Juliet avec Paprika, son teckel chéri : partir de CLIC;
.Haas Juliet (2013) Mes animaux
de compagnie et moi. XXIV. Paprika, chien teckel.
22. Une curieuse relation s'instaure entre Vanka et sa maitresse
Haas Juliet(2013), Mes animaux de compagnie et moi. XXIII. Paprika, chien teckel.21.
Paprika reprend les choses en
main, sa maitresse le comprendra-t-elle
Haas Juliet (2013), Mes animaux
de compagnie et moi. XXIII. Paprika, chien teckel.20. Une sombre vengeance
de Paprika
Haas
Juliet (2012), Mes animaux de
compagnie et moi. XXII. Paprika, chien
teckel.19. Tristes aventures de Moon et arrivée d’une nouvelle amie
Haas Juliet
(2012), Mes animaux de compagnie et moi.
XXI. Paprika, chien teckel.18.Paprika m’est plus présent
après sa mort qu’auparavant !
Haas Juliet(2012). Mes animaux de
compagnie et moi. XX. Paprika, chien teckel.17. L’amour de sa maitresse pour
Paprik en fin de vie laisse pantois
Haas
Juliet (2012), Mes animaux de
compagnie et moi. XIX. Paprika, chien
teckel. 16. Paprika a fait un scandale
au sein de ma belle famille
Haas Juliet
(2012), Mes animaux de compagnie et moi. XVIII. Paprika, chien teckel.15. Paprika avec sa maitresse, spécialistes en voyance
Haas Juliet
(2012), Mes animaux de compagnie et moi. XVII. Paprika, chien teckel.14. Histoires palpitantes de chiens, avec en
final Paprik couronné
Haas Juliet (2011), Mes animaux de
compagnie et moi. XVI. Paprika chien
teckel.13. Paprik avale 42 ou43 morceaux de sucre, fête son10ème anniversaire, rencontre
un chien berger allemand
Haas Juliet (2011), Mes animaux de compagnie et moi. XV. Paprika chien teckel. 12. Prendre le train avec un chien, cela va
encore, mais avec deux c’est l’enfer
Haas Juliet
(2011),Mes animaux de compagnie et moi. XIV. Paprika chien teckel.11. Paprika fait fuir les hommes approchant de près
sa maîtresse
Haas Juliet (2011), Mes animaux de compagnie et moi. XIII. Paprika, chien teckel 10. Le bien
curieux duo de Paprik avec Moon, autre chien accueilli
Haas Juliet(2011)°, Mes
animaux de compagnie et moi. XII. Paprika,
chien teckel. 9. Des épisodes de
fugue de Paprika déjà, de la chatte Mélusine aussi
Haas Juliet (2010), Mes
animaux de compagnie et moi. XI. Paprika,
chien teckel.8.Paprika initie la chatte Mélusine à l’amour.Paprika
et Mélusine accompagnent mes études de
musique
Haas Juliet (2010), Mes animaux de compagnie et
moi. X. Paprika, chien teckel. 7.
Retour à Paris, Paprika s’offre mon jambon, nous invite au restaurant, séduit la restauratrice, a une surprise
avec deux dames très spéciales
Haas
Juliet(2010), Mes animaux de compagnie et moi. IX. Paprika, chien
teckel.
6. Arrivée de la chatte « Mélusine »,
Stage en Italie, Voyage dans le Sud de la France
.Haas Juliet (2010), Mes animaux de
compagnie et moi. VIII. Paprika, chien
teckel.5. «Jamais deux sans trois ! »
Haas Juliet ( 2010), Mes animaux de compagnie et moi. VII. Paprika, chien teckel. 4.'' Patrika avec….mon
amoureux, les jeunes filles, les
contrôleurs de train, et autres gens''
.Haas Juliet(2010), Mes animaux de compagnie et moi. VI. Paprika, chien teckel. 3.''Je pars vivre seule avec Paprika,et…je
l'emmène à l'école''
Haas
Juliet (2010), Mes animaux de compagnie et moi. V. Paprika,
chien teckel .2. Paprik dans toute sa grandeur
. Haas Juliet (2009), Mes animaux de compagnie et moi. IV. Paprika, chien teckel .1. Je fais connaissance
Les articles à CLIC1, CLIC2, CLIC3 sont pour l’avant de la
rencontre de Juliet avec Paprika
Retour en
tête de texte : CLIC