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Novembre  2012

MES ANIMAUX DE COMPAGNIE ET MOI. XXII. PAPRIKA, CHIEN TECKEL.19. TRISTES AVENTURES DE MOON ET ARRIVEE D’UNE NOUVELLE AMIE

 

  Juliet HAAS,  h.juliet1@rambler.ru 

 

 

 Cet article est le vingtième deuxième épisode d’un récit de Juliet remontant à sa petite enfance.

On en atteint le déroulement depuis la fin de ce texte :  CLIC

 

Je ne crois plus au hasard.      

Quelques semaines après la mort de Paprik,je fis par hasard connaissance avec un pianiste polonais,qui jouait pour le Festival Chopin.

En le rencontrant,j'eus l'impression de voir Paprik en humain.Je fus tout de suite convaincue que c'était Paprika qui me l'avait envoyé.

Nous devînmes amis,et je découvris qu'il était du même signe astrologique que Paprika: Balance ascendant Scorpion!

Je lui parlai tellement de Paprika qu'il devint propriétaire de teckels! Il fit même par la suite quelques portées pour ses amis et pour en garder lui-même.A un moment,il avait une meute de dix teckels.Il m'en proposa souvent,pendant des années,mais je refusais toujours,ma blessure ne se refermait pas.

En été,cinq mois après le drame,nous partîmes dans le midi,Top,Moon et moi,chez un ami violoniste et sa femme.

Ils habitaient un village merveilleux dans les montagnes,et le séjour se passait soi-disant bien.

En effet,je commençais depuis quelques temps à reporter mes névroses paprikiennes sur Moon,que je surveillais comme l'huile sur le feu.

Je lui étais très reconnaissante d'avoir ''soigné''Paprika,de s'être aperçu avant tout le monde que Paprika allait partir,et de l'avoir léché et embrassé sans lui en vouloir aucunement de toutes les injustices qu'il lui avait fait subir.

Mais,un après-midi,Moon disparut.

Je faillis me trouver mal,et je l'appelais désespérément comme une chatte qui a perdu ses petits.

Jamais Moon n'avait fugué,et je le voyais déjà enlevé par quelque malandrin en quête d'animaux de laboratoires,

Je restai dehors,torturée l'appeler,à l'attendre,à gémir.

Les heures passaient.

La seule chose qui me rassurait,c'est que mes amis m'avaient fait observer que la chienne de nos proches voisins n'était pas là non plus.

Ils soupçonnaient chez Moon une fugue amoureuse.

Mais,si c'était le cas,je n'étais rassurée qu'à moitié,sachant la chienne montagnarde et agile,alors que Moon était un titi parisien,peu habitué aux chemins escarpés des montagnes.Je le voyais tombé dans un ravin,fracturé,agonisant dans les pires souffrances et la pire des solitudes,abandonné par la belle.

La nuit s'enfonçait dans les profondeurs de son antre noire,et je n'entendais pas un bruit.

Je m'assis sur les marches du perron,en état de prostration.

Le sommeil me gagnait peu à peu.De temps en temps,je sursautais,et hurlais ''Mooooooon!!!'',lançant une bouteille à la mer.

Je craignais de ne voir arriver personne,ou de voir la chienne rentrer seule.

Le temps semblait figé,rien ne bougeait.

Je regardai ma montre,il était quatre heures du matin.

Je hurlai une énième fois un Mooooooooon du fond de mes entrailles,lorsque j'entendis un bruit dans les buissons.

L'espoir revint,suivi du soulagement: deux ombres sortirent des broussailles,et l'une d'elles était bien celle de Moon.

Me voyant,il se jeta dans mes bras,pendant que la femelle rejoignait sa maison.

Je l'embrassais et je pleurais en lui disant:

''Mais pourquoi as-tu fait ça?Tu sais bien que je n'ai plus que toi! Ne me dis pas que c'est Paprika qui t'influence de la sorte! Ne me refais plus jamais ça,Moon! Je t'en supplie,plus jamais!''

Il me regardait de ses yeux humains,mais il semblait heureux.Heureux de s'être amusé,heureux d'avoir vécu une belle aventure,comme un adulte qui n'a plus ses parents sur le dos.Je compris ce qu'il ressentait,et je lui dis:

''Tu as raison,Moon.Pardonne-moi d'être aussi possessive,mais je craignais qu'il ne t'arrivât quelque chose.''

Nous rentrâmes,et je m'endormis,en proie à d'horribles cauchemars.

Moon,lui,dormit trois jours,incapable de se lever et de marcher,fourbu par les courbatures et une aggravée aux pattes.

J'étais triste pour lui de le voir souffrir,mais heureuse que son état ne lui permette pas de sortir.Mais je me gardai de le lui dire.

Lorsque nous rentrâmes à Paris,je ne me sentais pas bien.

J'avais comme un poids dans ma tête,et mes migraines devenaient perpétuelles.Elles prenaient une telle ampleur que je vivais avec vingt-quatre heures sur vingt-quatre,et elles étaient agrémentées d'une névralgie du nerf trijumeau et du nerf spinal: je vivais,dormais,et travaillais avec ces tenailles.

C'était un supplice.Il dura dix sept ans environ.

Mais il fallait supporter,ou mourir.

Combien de fois ai-je pensé à m'euthanasier,d'autant que la maladie allait crescendo.Mais je tins,je ne sais par quel miracle.Peut-être Paprika ne voulait-il pas que je le rejoigne ?

Puis,Moon tomba gravement malade,cet hiver là.

Il fit une gastro-entérite si grave qu'il faillit en mourir.

Il fut hospitalisé,et s'en sortit de justesse.

Il avait perdu beaucoup de poids,et fut long à remonter la pente.

Top descendait Moon pour la promenade vespérale.

Un soir,il rentra,affolé.

''Moon a avalé un os! Il n'est pas bien!''

Moon était assis dans son panier,et regardait son maître en levant la tête.

Je voyait le blanc de son œil,dans le coin,et sa queue était repliée contre sa cuisse.Seul le bout de sa queue remuait fébrilement.

J'essayai de calmer Top,en lui disant que Moon avait l'air normal.

Mais Top insista:

''Il y avait un os,près d'une poubelle,j'ai essayé de le lui enlever,mais il l'a avalé,et il n'a pas l'air bien.''

Je me demandais bien ce que Moon pouvait avoir,tout paraissait normal.

Tout à coup,il se cambra en avant,pour vomir.Mais rien ne sortit.

Il se rassit dans son panier,et je dis à Top:

''Nous partons immédiatement à la clinique,si ça se trouve,l'os s'est coincé''.

Nous nous précipitâmes dans la voiture,et arrivâmes à la clinique.

Il était environ une heure du matin,mais il y avait beaucoup de monde.

Moon avait l'air bien,mais nous étions angoissés.

Finalement,après une très longue attente,Moon fut pris en consultation.

Le vétérinaire prit la décision de faire une radio,pour en avoir le cœur net.

Il revint quelques minutes plus tard,pour confirmer ce que nous craignions:

Moon avait un os coincé dans l’œsophage,vraisemblablement une vertèbre de mouton.

Top vociférait en culpabilisant,et je le coupai net:

''Ce n'est pas le moment de culpabiliser,et puis,ça ne sert à rien.''

Top baissait les yeux et je sentais en lui sourdre une colère contre lui-même.

Le vétérinaire nous dit alors:

''Je le garde,je vais tenter de lui donner un médicament pour faire descendre l'os.Si ça ne descend pas,il faudra l'opérer pour le lui enlever.''

Je défaillis,j'avais comme un horrible pressentiment,mais je me gardai bien de le montrer.

Je m'enquis sur les risques d'une telle opération,mais le vétérinaire me dit qu'on en était pas encore là.Il ajouta qu'en général,cela se passe bien,même s'il faut opérer.

Moon n'en menait pas large.Il avait le regard lamentable d'un chien qui vient de commettre une grosse bêtise,et qui s'attend à être grondé.

Il commençait à saisir que la situation était sérieuse.

Le vétérinaire l'emmena,et nous rentrâmes,désespérés.

Il n'y avait plus de chien à la maison.

Seule Mélusine était là.

Elle nous regarda de ses yeux glacés,puis disparut.

Top avait l'air malade,et j'allai me coucher,l'estomac tordu de spasmes.

Je pris des nouvelles de Moon dès le lendemain,mais il fallait encore attendre un jour dans l'espoir que l'os descende.

Finalement,il fallut opérer,car l'os,malgré tous les traitements,n'avait pas bougé d'un iota.

L'opération se passa bien,malgré mes craintes.

En effet,la gastro-entérite qu'il avait eue peu de temps auparavant l'avait affaibli,et je me disais qu'il ne résisterait peut-être pas.

Nous étions un lundi,et Moon devait rester quelques jours,le temps que son œsophage cicatrise et qu'il puisse manger tout seul sans problème.

Chaque jour,je prenais des nouvelles.

Chaque jour,il allait mieux.

Sa sortie fut fixée pour le vendredi matin onze heures.

Ce jour-là,au moment de partir pour aller le chercher,je trouvai un message de la clinique me demandant de téléphoner le plus vite possible.

J'appelai,défaillante,et là,le verdict tomba,comme un couperet:

''Moon est mort ce matin,vers six heures''.

Malgré le choc,je demandai calmement des explications.

Moon avait eu des difficultés respiratoires vers trois heures du matin,et,malgré tous les soins,tente à oxygène,tonicardiaques et autres remèdes,il avait rendu l'âme.

Le vétérinaire me dit que l'équipe était si étonnée qu'ils décidèrent de leur

propre chef de pratiquer une autopsie.

Ils découvrirent alors avec stupéfaction que Moon avait eu une embolie pulmonaire,due probablement au fait que,pour attraper l'os,il avait fallu le ''charcuter'' en écartant les côtes,ce qui peut favoriser l'apparition d'une infection.

Il avait bien sûr reçu une antibiothérapie par perfusion,qui,hélas,n'avait pas suffi.

Tout cela était d'autant plus étrange qu'il n'avait eu aucun signe avant-coureur de cette pathologie fatale.

J'étais effondrée.

Cette fois,il n'y avait vraiment plus de chien à la maison.

Je demandai une incinération avec récupération des cendres,comme pour Paprika.

Lorsque Top rentra,le soir,je lui appris cette affreuse nouvelle.

Inutile de vous dire l'atmosphère qui régna à la maison pendant les semaines qui suivirent.

Moon est parti comme une étoile filante,mystérieusement,comme

sa vie énigmatique.

Lorsque je pense à lui,j'ai le cœur qui se serre: ce chien était très robuste,il aurait du mourir vieux.

Mais le sort s'est acharné sur lui.Pourquoi? Ces injustices de la vie me la rendent très pénible.

Je ne peux pas comprendre pourquoi certains êtres si bons ont aussi peu de chance,alors que d'autres,horribles,ne savent pas ce qu'est même un petit pépin.

Peut-être est-ce le mystère de notre passage sur Terre?

Ce petit chien restera toujours une blessure mal cicatrisée.

Je m’étais posé tant de questions à propos de Moon.

Il avait un regard si humain que je m'étais demandé,à l'époque,s'il n'avait pas été victime d'une métempsychose (phénomène faisant se réincarner un humain s'étant plus que mal conduit de son vivant en animal,la plus ''indigne'' des réincarnations).

Un jour,pour en avoir le cœur net,j'avais posé la question à Moon:

''Moon,tu as une tête à t'appeler Maurice.Je crois que tu es un humain réincarné en chien,une métempsychose.''

A ce dernier mot,il se mit à hurler à la mort.

Pour le calmer,je lui dis:

''Mais,Moon,tu es très bien en chien,tu es si adorable,je t'aime comme tu es ''.

Mais je sentais chez lui une profonde souffrance dans son regard.

Il est possible que je ne me sois pas trompée,en lui disant cela.

Il est possible que je me fasse du ''cinéma''.

Il est possible qu'il ait été un humain prénommé Maurice: pourquoi,en effet,lui avais-je posé cette question du tac au tac,sans réfléchir,ce nom me sortant de la bouche sans mon intention ? En tout cas,par la suite,je l'appelai souvent Maurice.

Tout cela est si troublant que,lorsqu'il mourut,je pensai que Dieu ou l'être suprême,(peu importe les croyances),avait mis fin prématurément à son supplice pour le soulager.

Mais j'eus une autre pensée,moins réjouissante,celle-là: je me demandai si Paprika n'avait pas quelque chose à voir dans ce décès.

C'était comme une impression diffuse,et je me raisonnais en me disant qu'il ne pouvait pas être ''méchant''à ce point là.

Depuis la mort de Moon,je vivais comme un zombie.
Mélusine était totalement déprimée,sa voix était toujours cassée.
Nous étions en Mai,et mon printemps était sinistre.
Je décidai d'aller rendre visite à Madame R.,pour lui faire part de ma misère.
Et ,m'attendait un miracle: Madame R.avait en garde la bergère allemande de son fils,qui ne pouvait plus s'en occuper,faute de temps,et qui l'avait refilée à sa mère.
Mais Madame R.avait trop d'animaux,et elle me la proposa.
Cette chienne était magnifique,beige avec un manteau noir,elle s'appelait Ultra.
Elle était d'une grâce extraordinaire,et j'eus le coup de foudre.
Mais j'hésitai à la prendre: elle n'avait d'yeux que pour Madame R.,et je n'avais pas l'air de lui plaire.Elle m'ignorait totalement,comme si j'eusse été une ombre.
Je dis à Madame R. de réfléchir encore avant de s'en séparer,vu l'attachement évident que la chienne avait pour elle...et elle pour la chienne.De plus,il fallait que j'en parle à Top.
Madame R.trouva cela raisonnable,et je rentrai à la maison.
Je me sentis tout à coup le cœur léger,ce qui ne m'était jamais arrivé depuis le décès de Paprika.
Je me disais que,au cas où Madame R.voudrait garder la chienne,j'avais trouvé le chien de mes rêves,un berger allemand.
C'était décidé,quoiqu'il en fût,dans les jours qui suivraient,j'aurais une louve à la maison.
J'en parlai à Top,qui fut d'accord. Dans les jours qui suivirent,Madame R.me téléphona pour me demander si je voulais la chienne; elle avait bien réfléchi,elle voulait s'en séparer.
Je me rendis chez elle,et nous allâmes nous promener avec Madame R.,qui m'expliquait tout ce dont la chienne avait besoin.
Elle me dit:''faites attention aux coups de patte,ils ne se rendent pas compte de leur force,même pour vous câliner...
Après la promenade,je remontai avec Ultra.
Nous nous installâmes au salon.
Elle me regardait de ses yeux bruns,profondément tristes.
Je tentai d'engager la conversation.
Elle ne m'écoutait pas.
Tout à coup,sortit de son ventre un cri déchirant,traversant son corps comme une onde de douleur.
Son long museau était entrouvert: elle hurlait à la mort.
Je m'approchai d'elle,la caressai,mais elle continuait.
Elle hurla ainsi assez longtemps,puis,me regardant,s'arrêta.
Nous vécûmes ainsi deux jours,entre ses larmes et mes consolations.
Le troisième jour,nous rentrions de notre promenade,lorsque je m'assis sur mon canapé,m'attendant à une nouvelle scène de pleurs.
Mais quelle ne fut pas ma surprise en la voyant me sauter dans les bras et me lécher le visage,prenant un plaisir immense à mes caresses.
Elle remuait la queue,était folle de tendresse.
Elle m'avait enfin adoptée.

Note : Juliet se verrait bien être l’auteur d’un ou plusieurs ouvrages autour de vaste thème de notre relation à l’animal de compagnie, tout au long de la vie. Qui aurait des connaissances intéressées dans le monde de l’édition, serait très aimable d’établir le contact avec Juliet

 

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Episodes précédents du cheminement de Juliet avec Paprika, son teckel chéri : Repartir de CLIC;

 

Haas Juliet (2012),  Mes animaux de compagnie et moi. XXI. Paprika, chien teckel.18.Paprika m’est plus présent après sa mort qu’auparavant !

 

Haas Juliet(2012).  Mes animaux de compagnie et moi. XX. Paprika, chien teckel.17. L’amour de sa maitresse pour Paprik en fin de vie laisse pantois 

 

Haas Juliet (2012), Mes animaux de compagnie et moi. XIX. Paprika, chien teckel. 16. Paprika a fait un scandale au sein de ma belle famille

 

Haas Juliet (2012), Mes animaux de compagnie et moi. XVIII. Paprika, chien teckel.15. Paprika avec sa maitresse, spécialistes en voyance

 

Haas Juliet (2012), Mes animaux de compagnie et moi. XVII. Paprika, chien teckel.14. Histoires palpitantes de chiens, avec en final Paprik couronné

 

Haas Juliet (2011),  Mes animaux de compagnie et moi. XVI. Paprika chien teckel.13. Paprik avale 42 ou43 morceaux de sucre, fête son10ème anniversaire, rencontre un chien berger allemand

 

Haas Juliet (2011), Mes animaux de compagnie et moi. XV. Paprika chien teckel. 12. Prendre le train avec un chien, cela va encore, mais avec deux c’est l’enfer

 

 Haas Juliet (2011),Mes animaux de compagnie et moi. XIV. Paprika chien teckel.11. Paprika fait fuir les hommes approchant de près sa maîtresse 

 

 Haas Juliet (2011), Mes animaux de compagnie et moi. XIII. Paprika, chien teckel 10. Le bien curieux duo de Paprik avec Moon, autre chien accueilli 

 

 Haas Juliet(2011, Mes animaux de compagnie et moi. XII. Paprika, chien teckel. 9. Des épisodes de fugue de Paprika déjà, de la chatte Mélusine aussi

 

 Haas Juliet (2010), Mes animaux de compagnie et moi. XI. Paprika, chien teckel.8.Paprika initie la chatte Mélusine à l’amour.Paprika et Mélusine accompagnent mes études de musique

 

 Haas Juliet (2010), Mes animaux de compagnie et moi. X. Paprika, chien teckel. 7. Retour à Paris, Paprika s’offre mon jambon, nous invite au restaurant, séduit la restauratrice, a une surprise avec deux dames très spéciales

 

 Haas Juliet(2010), Mes animaux de  compagnie et moi. IX. Paprika, chien teckel. 6. Arrivée de la chatte « Mélusine », Stage en Italie, Voyage dans le Sud de la France

 

.Haas Juliet (2010), Mes animaux de compagnie et moi. VIII. Paprika, chien teckel.5. «Jamais deux sans trois ! »

 

 Haas Juliet ( 2010), Mes animaux de compagnie et moi. VII. Paprika, chien teckel. 4.'' Patrika avec….mon amoureux, les jeunes filles, les contrôleurs de train, et autres gens''

 

.Haas Juliet(2010), Mes animaux de compagnie et moi. VI. Paprika, chien teckel. 3.''Je pars vivre seule avec Paprika,etje l'emmène à l'école''

 

 Haas Juliet (2010), Mes animaux de compagnie et moi. V. Paprika, chien teckel .2. Paprik dans toute sa grandeur

 

. Haas Juliet (2009), Mes animaux de compagnie et moi. IV. Paprika, chien teckel .1. Je fais connaissance

 

Les articles à CLIC1,  CLIC2,  CLIC3 sont pour l’avant de la rencontre de Juliet avec Paprika

 

 

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