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Mars 2013
MES ANIMAUX DE COMPAGNIE ET MOI. XXIII. PAPRIKA, CHIEN
TECKEL.21. PAPRIKA REPREND LES CHOSES EN MAIN, SA MAITRESSE LE
COMPRENDRA-T-ELLE ?
Juliet HAAS,
h.juliet1@rambler.ru
Cet article est le vingtième quatrième épisode
d’un récit de Juliet remontant à sa petite enfance.
On en atteint le déroulement depuis la
fin de ce texte : CLIC
Je me posais tant de
questions,je retournais le problème dans tous les sens: la réalité,qui me giflait
à chaque fois violemment,était que j'avais perdu trois chiens en un an et demi!
Top,qui,pourtant,avait un esprit très cartésien,se demandait ce qui se passait.
Même lui me dit,que peut-être Paprika ne voulait pas que nous ayons d'autre
chien que lui!!!
Et,pourtant,jamais je ne lui avais parlé de cette pensée qui m'avait si souvent
assaillie.
Je ne pouvais même pas avoir de chagrin,car c'était une telle déception que je
ressentais,et une telle culpabilité,que j'aurais préféré me retrouver à mille
lieues sous terre. Pourquoi avais-je refusé de rendre Ultra à Madame R. ?
Pourquoi n'avais-je pas saisi le sens de son insistance ?
Je me sentais si coupable aussi de n'avoir pu trouver un médecin capable de
sauver Paprika,que je me demandais s'il ne me punissait pas en m'ôtant mes
chiens les uns après les autres.
Je pensais que tous mes chiens mouraient jeunes,et qu'il ne fallait plus que
j'en aie: peut-être était-ce moi qui leur portais malheur,sans le
vouloir,car,les aimant trop,quelque malédiction me punissait de cet amour
inconditionnel,qui était ma raison de vivre depuis mon enfance?
J'avais été privée d'animaux par ma mère,qui n'en voulait pas.
J'avais réussi,malgré tout,et grâce à Nana,à avoir des poissons,puis des
oiseaux,avant de réaliser mon rêve: avoir un chien.
J'étais tombée gravement malade,et ma mère avait finalement cédé,sur les
conseils du médecin,qui pensait qu'un chien accélérerait ma guérison.
Sans cette maladie,j'aurais du attendre encore longtemps.
Je pense que cette privation de chien était la cause de ma maladie,et,l'arrivée
de Paprika fut pour moi un sauvetage.
En effet,si ma mère n'avait pas enfin cédé pour un chien,je me serais
supprimée.
Tous ces souvenirs,cette enfance frustrée et malheureuse,tout cela me revenait
en tête comme un boomerang,et m'empêchait aussi de pleurer Ultra.
Je ressentais un sentiment que je n'avais jamais eu jusque là: la peur.
Peur d'une force -plus forte que le veto que m'opposait ma mère- qui ne voulait
pas que je vive heureuse. Pour moi,le bonheur,c'était les chiens.Alors,pourquoi
ce destin funeste?
Je dis à Top que,moi aussi,j'avais supposé que Paprika n'était pas étranger à
cette affaire,et que je ne devrais plus reprendre de chien.
Il faut bien admettre
que,même si ces circonstances étranges me faisaient me poser toutes ces
questions,je n'aurais probablement jamais de réponse.
A l'époque,ces trois pertes successives,si vite,m'avaient complètement
traumatisée ainsi que Top qui,quoiqu' étant si terre-à-terre,était,lui
aussi,terrorisé à l'idée de reprendre un chien.
Certaines personnes ''bienveillantes'',sans rien savoir de ce que je pouvais
ressentir,me disaient fréquemment:
''Décidément,tu n'as pas de chance avec tes chiens!''
Ou bien:
''C'est bizarre,la plupart des chiens vivent au moins quatorze ou quinze ans,comment
ça se fait que tu n'arrives pas à les garder plus longtemps?''
Le pire,ce fut:
''Tu ne portes pas chance à tes chiens: ils partent tous jeunes''.
Je me demande si ce n'est pas du sadisme,conscient ou inconscient?
Toujours est-il que ce genre de réflexions très agréables ne pouvaient que me
conforter dans ma culpabilité.Puisque ces choses atroces qu'ils me disaient,je
les avais en fait déjà pensées moi-même.L'horreur,c'est qu'ils avaient
peut-être raison !
Après le décès d'Ultra,qui fut très dur à avaler,j'eus une nouvelle période de
réflexions: j'étais contente pour Paprika de le savoir là-haut, moins seul,en
compagnie de Moon et d'Ultra.
Quand Ultra partit,les
manifestations commencèrent à se faire plus rares,et elles changèrent de
forme.Je compris alors que Paprika ne m'avait pas punie,ni de n'avoir pas pu le
sauver,ni d'avoir aimé d'autres chiens après lui.En fait,la mort de Moon et
d'Ultra n'avaient probablement pas de lien direct avec une
volonté de Paprika,mais un lien avec une autre volonté,que certains peuvent
appeler Dieu.Je devenais de plus en plus sûre que la mort était la
continuité de la vie,et que l'âme survivait à la mort.Que mes chiens soient avec moi en chair et en os,ou
qu'ils soient avec moi sous forme désincarnée revenait un peu au même,puisque
leur amour pour moi et le mien pour eux était intact.Peut-être que je
devais vivre ces deuils successifs,ainsi que les manifestations de Paprika,pour
comprendre que la vie et la mort,cela n'existe pas.Ce qui existe,c'est la conscience,mais qu'elle soit
incarnée ou désincarnée,elle est toujours une,entière et indivisible.Comment
Paprika aurait-il pu se manifester avec autant de bruit s'il n'était plus
conscient,si son énergie s'était éteinte avec la mort de son corps?
Pour l'athée que
j'étais,commençaient à s'ouvrir depuis quelques temps de nouvelles perspectives
passionnantes !
Je me noyais dans le travail,pour essayer
quand-même de ne pas trop penser à tout cela.
Arrivèrent les vacances de Noël.
Nous partîmes chez Top,dans sa maison en Bretagne.
Nous avions invité ma cousine Jeanine,qui avait une petite chienne croisée
braque.
Cette chienne était terriblement craintive,et elle n'aimait que sa maîtresse.
Il nous fut quasiment impossible de l'approcher,mais elle était là,sur le
canapé,ou dans le jardin,et sa présence me redonnait de terribles envies de
chien.Il en était de même pour Top.
Ma cousine rentra chez elle avant nous,et il nous restait encore plusieurs
jours de vacances.
Nous étions là,tous les deux,sans chien,neurasthéniques.
Mais,avant le départ de ma cousine,nous nous étions entendus pour ne pas
céder,sachant à l'avance que la chienne de Jeanine nous provoquerait une ''crise'' de chien.
Nous nous disions à tour de rôle:
''C'est terrible,cette pelouse vide.Sans chien ce n'est vraiment pas gai''.
Mais nous restions raisonnables.
Un matin,je me levai après Top,et,pendant que je me faisais un café,je
m'aperçus qu'il était le nez dans l'annuaire téléphonique.
Je craignais qu'il ne cherchât un éleveur de bergers allemands dans la région.
Moi qui ne pose jamais
de questions,je ne pus résister et je lui demandai ce qu'il cherchait,tout en
m'approchant de lui.
Il rabattit la couverture du livre,sans le fermer complètement.
''J'espère que tu n'es pas en train de chercher un berger allemand?'',risquai-je,sur
un ton ferme.
''Non'',dit-il.
''Alors,que cherches-tu?''
Il sourit,et rouvrit l'annuaire,sur une page consacrée aux éleveurs de bergers
allemands.
''Top'',lui dis-je,''tu n'es pas raisonnable.Il est hors de question que nous
reprenions un chien,après ce qui est arrivé.J'aurais l'impression de le
condamner à mort! S'il arrive quelque chose,je ne pourrai pas le supporter,je
ne peux pas prendre le risque.''
''Je sais'',dit-il.''Je regardais simplement,comme ça,par nostalgie.Nos chiens
me manquent,la chienne de Jeanine était encore là il y a quelques
jours,et,comme toi,je trouve cette maison vide.Imagines: un beau berger
allemand couché sur la pelouse,là,à côté de nous...''
Il faisait une tirade qui devenait floue,et que je n'écoutais plus.
J'entendais ses
mots,mais ils étaient lointains et je ne les comprenais plus.
Je me sentis comme transportée à des milliers de
kilomètres de là,entre le ciel et la Terre,naviguant dans une dimension que je
ne connaissais pas.
Une expérience extraordinaire,comme je n'en avais jamais vécue
auparavant.Ce temps me parut très long,lorsque,tout à coup,de très loin,je vis
Top refermer l'annuaire.
A ce moment là,je revins à moi,et je me jetai dessus,cherchant fébrilement à
retrouver la page.
''Que fais-tu?'',demanda Top.''L'incident est clos,on n’en parle plus''.
''Si,on en parle!'',hurlai-je,comme si les mots ne venaient pas de moi.
Je vis de l'effroi dans le regard de Top,qui,sur mes insistances,finit par
retrouver la page.
L'éleveur le plus proche se trouvait en Normandie,à environ deux cents
kilomètres d'où nous étions.
''On téléphone?'',demandai-je.
''On téléphone'',dit Top.
Avec la même
fièvre,qui ne me quittait pas,je m'emparai du téléphone,le cœur battant,dans un
état voisin de celui dans lequel je suis lorsque je vais me produire en
concert.Cet état,cette fois,je le sentais en rapport avec Paprika: j'étais
poussée par une force irrésistible,la même exactement qui m'animait du temps où
Paprika vivait.
A l'instant où j'étais partie,quelques minutes plus tôt,j'avais touché de près
la dimension dans laquelle Paprika se trouvait,c'était une certitude.
Je ne peux hélas pas dire que je l'ai vu,mais je peux affirmer que j'ai senti
son énergie,et que c'est cette énergie qui me faisait téléphoner à l'éleveur.
Je pense même que c'est Paprika qui avait poussé Top à ouvrir l'annuaire.
Il est possible que les trois chiens aient même agi ensemble,car je ne
ressentais aucune animosité de Paprika envers Moon et Ultra,ce qui me
confortait encore dans mes nouvelles réflexions: Paprika était-il innocent de
la mort de Moon et d'Ultra? Je ne culpabilisai néanmoins pas du tout d'avoir pu
penser qu'il pût en être coupable.J'irai même plus loin: cela n'avait plus
d'importance!
Quelques instants après,nous étions dans la voiture.
Après plus de deux
heures de route,nous arrivâmes dans un endroit surréaliste,où nous fûmes
accueillis par un monsieur et une dame,ainsi que par toute une meute de bergers
allemands,tous plus beaux les uns que les autres.
Je tombai amoureuse de l'un d'eux,Ivan.Mais il appartenait à l'éleveur.
J'avais précisé à l'éleveur,au téléphone,que je préférerais un chiot de six
mois,mais il nous en présenta deux: une chienne de trois mois, vive,enjouée,
noire et feu,et une autre de six mois,triste et grave. Je fus frappée par son
pelage: elle était presque toute noire.Seul son museau avait quelques poils
beiges,ainsi que le bout de ses pattes.
Je demandai à l'éleveur la raison de cette couleur.Il me dit alors que le père
de cette chienne,prénommée Vanka, était un noir intégral.Je ne savais pas que
le noir intégral existait chez le berger allemand,je l'appris ce jour là.
La petite vint vers nous en s'agitant comme un ver,et la grande s'assit dans un
coin,timide,nous regardant de ses yeux noirs,profonds et scrutateurs.
L'éleveur alla,sur ma demande,chercher la mère de Vanka,une chienne beaucoup
plus claire qu'elle,âgée de six ans,qui était une bonne grosse mémère,trop
grasse,avec des yeux rieurs,bons,et très maternels.
Elle avait du être belle,dans sa jeunesse,mais elle était visiblement beaucoup
trop gâtée par sa maîtresse,qui l'avait rendue obèse.
La dame sortit d'un tiroir la photo du père,qui n'était pas là,un loup tout
noir,somptueux,qui avait l'air d'une panthère,étalon recommandé,super
primé.Puis elle me dit que Vanka s'éclaircirait en grandissant,sur ses
joues,mais que ses oreilles resteraient noires,en principe.J'adorais ces
oreilles noires.
Je caressai la mère,Top aussi.Elle était particulièrement gentille et sociable.
Mais il n'était pas question de nous laisser repartir avec l'une des deux
chiennes: nous eûmes droit à un interrogatoire minutieux,qui dura plus d'une
heure!
Tout à coup,le monsieur,qui n'avait pas l'air très chaud pour nous céder l'une
de ces merveilles,nous dit,en désignant la noire:
''C'est celle-ci qu'il vous faut.La petite sera beaucoup trop dure,beaucoup
plus difficile à éduquer.Vous ne pouvez pas prendre une chienne dure,ou
dominante,vu votre mode de vie.La chienne qu'il vous faut doit être très
douce.''
Et,sans nous demander notre avis,il emmena la petite dans une autre pièce,ainsi
que la mère de Vanka.
Je regardais Vanka.Je l'appelai timidement,mais elle ne vint pas.
Elle restait,immobile,assise sur le côté,sa queue se déroulant par-terre autour
d'elle comme le boa d'une coquette.Elle continuait à nous scruter,l'air
profondément ennuyé.
L'éleveur l'appela,et elle vint à lui immédiatement.Elle était très attachée à
ce monsieur,et n'avait aucune envie de partir avec nous.
Je dis alors:
''Mais pourquoi ne prendrions-nous pas la petite?Je n'ai pas trop envie d'un
chiot très jeune (je pensais à Paprika et à toutes ses bêtises),je préfère
l'âge de celle-ci,mais elle n'a pas du tout envie de vous quitter.
Et je ne veux pas avoir fait deux cents kilomètres pour rien,et rentrer sans
chien.Je prends l'autre,si vous voulez bien.''
Le monsieur me regarda d'un air courroucé,et me dit:
''Je connais mon métier! Vanka a le caractère qui vous convient.Je ne peux pas
vous céder l'autre,elle ne sera pas facile,je vous l'ai déjà dit.
Il vous faut une chienne qui comprenne tout du premier coup.
Celle-là,vous lui
donnerez un ordre une fois,vous n'aurez jamais à le répéter deux fois,ce sera
enregistré pour toujours,alors que la petite,il faudra lui dire au moins dix
fois,et encore,elle cherchera toujours à vous tester.''
Dans ma tête,pendant qu'il parlait,je me rendais compte que la petite avait un
caractère du genre de celui d'Ultra,qui commençait à devenir dominante,qui
voulait bouffer les chiots,et qui promettait,en vieillissant,de me transformer
en dompteur de fauves.Malgré tout l'amour que je lui portais,je savais que
j'aurais du être intraitable avec elle.
Je rêvais d'une peluche obéissante,ne montrant jamais les dents à qui que ce
soit,le chien idéal,qui n'existe que dans les rêves- du moins le croyais-je.
J'écoutai l'éleveur,qui me promit que Vanka me donnerait entière
satisfaction.Mais il me dit que,aussi doux qu' il puisse être,un berger
allemand reste un berger allemand,et que,même sans apprentissage,il nous
protègerait et nous défendrait,au cas où...
Il apporta un collier,une très belle gourmette à larges anneaux rectangulaires,
et une laisse en cuir jaune,spéciale bergers allemands.
Il para Vanka de ces attributs,et ils s'approcha de moi,avec elle,me remettant
la laisse.
Vanka se laissa faire,et elle s'assit à côté de moi.Je sentais qu'elle
souffrait profondément,comprenant parfaitement qu'elle allait quitter son nid
tranquille pour un avenir inconnu.Mais elle tentait à présent de le cacher.Elle
était résignée comme un condamné à mort qui part pour l'échafaud.
Je fis quelques pas,et elle me suivit avec dignité,sans se plaindre.
Mais je voyais à ses yeux qu'elle était vraiment très malheureuse.
Je remplis tous les papiers,je pris aussi son certificat de naissance,son
carnet de vaccination,sa carte de tatouage,et nous quittâmes ce lieu,après
avoir chaleureusement salué l'éleveur et son épouse,ainsi que le bel Ivan.
L'éleveur nous fit promettre de revenir d'ici à quelques mois avec la
chienne,afin qu'il voie comment elle évoluait: il voulait lui faire faire
quelques tests et exercices,en vue de sa confirmation en exposition.
Nous promîmes de donner des nouvelles,de les tenir au courant de tout, et,bien
sûr,de revenir les voir.
Mademoiselle Vanka de la Buffotière monta dans la voiture,je montai avec elle
sur la banquette arrière,et nous refîmes le chemin inverse,ravis, émus, pleins
de bonheur.
Vanka fut d'une sagesse exemplaire pendant tout le trajet,comme si elle avait
été un chien adulte,parfaitement éduqué.
Note : Juliet se
verrait bien être l’auteur d’un ou plusieurs ouvrages autour de vaste thème de
notre relation à l’animal de compagnie, tout au long de la vie. Qui aurait des connaissances
intéressées dans le monde de l’édition, serait très aimable d’établir le
contact avec Juliet
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tête de texte : CLIC
Episodes précédents
du cheminement de Juliet avec Paprika, son teckel chéri : partir de CLIC;
Haas Juliet (2013), Mes
animaux de compagnie et moi. XXIII. Paprika, chien teckel.20. Une sombre
vengeance de Paprika
Haas
Juliet (2012), Mes animaux de compagnie et moi. XXII. Paprika, chien teckel.19. Tristes aventures de Moon et arrivée d’une nouvelle amie
Haas Juliet
(2012), Mes animaux de compagnie et moi.
XXI. Paprika, chien teckel.18.Paprika m’est plus présent
après sa mort qu’auparavant !
Haas Juliet(2012). Mes animaux de
compagnie et moi. XX. Paprika, chien teckel.17. L’amour de sa maitresse pour
Paprik en fin de vie laisse pantois
Haas
Juliet (2012), Mes animaux de
compagnie et moi. XIX. Paprika, chien
teckel. 16. Paprika a fait un scandale
au sein de ma belle famille
Haas Juliet
(2012), Mes animaux de compagnie et moi. XVIII. Paprika, chien teckel.15. Paprika avec sa maitresse, spécialistes en voyance
Haas Juliet (2012), Mes animaux de
compagnie et moi. XVII. Paprika, chien
teckel.14. Histoires palpitantes de chiens, avec en final Paprik couronné
Haas Juliet (2011), Mes animaux de
compagnie et moi. XVI. Paprika chien
teckel.13. Paprik avale 42 ou43 morceaux de sucre, fête son10ème anniversaire, rencontre un chien berger allemand
Haas Juliet (2011), Mes animaux de compagnie et moi. XV. Paprika chien teckel. 12. Prendre le train avec un chien, cela va
encore, mais avec deux c’est l’enfer
Haas Juliet
(2011),Mes animaux de compagnie et moi. XIV. Paprika chien teckel.11. Paprika fait fuir les hommes approchant de près sa maîtresse
Haas Juliet (2011), Mes animaux de compagnie et moi. XIII. Paprika, chien teckel 10. Le bien
curieux duo de Paprik avec Moon, autre
chien accueilli
Haas Juliet(2011)°, Mes animaux de
compagnie et moi. XII. Paprika, chien
teckel. 9. Des épisodes de fugue
de Paprika déjà, de la chatte Mélusine aussi
Haas
Juliet (2010), Mes animaux de compagnie et moi. XI. Paprika, chien teckel.8.Paprika initie la chatte Mélusine à
l’amour.Paprika et Mélusine accompagnent mes
études de musique
Haas
Juliet (2010), Mes animaux de compagnie et moi. X. Paprika, chien teckel. 7. Retour à Paris, Paprika s’offre mon
jambon, nous invite au restaurant, séduit
la restauratrice, a une surprise avec deux dames très spéciales
Haas
Juliet(2010), Mes animaux de
compagnie et moi. IX. Paprika, chien teckel. 6. Arrivée de la chatte « Mélusine », Stage
en Italie, Voyage dans le Sud de la France
.Haas Juliet (2010), Mes animaux de
compagnie et moi. VIII. Paprika, chien
teckel.5. «Jamais deux sans trois ! »
Haas Juliet
( 2010), Mes
animaux de compagnie et moi. VII. Paprika, chien teckel. 4.'' Patrika avec….mon amoureux, les jeunes filles, les contrôleurs de train, et autres gens''
.Haas Juliet(2010), Mes animaux de
compagnie et moi. VI. Paprika, chien teckel. 3.''Je pars vivre seule avec Paprika,et…je l'emmène à l'école''
Haas
Juliet (2010), Mes animaux de compagnie et moi. V. Paprika,
chien teckel .2. Paprik dans toute sa grandeur
. Haas Juliet (2009), Mes animaux
de compagnie et moi. IV. Paprika, chien
teckel .1. Je fais connaissance
Les articles à CLIC1, CLIC2, CLIC3 sont pour l’avant de la rencontre de Juliet avec Paprika
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tête de texte : CLIC