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Mai 2013
MES ANIMAUX DE COMPAGNIE ET MOI. XXIV. PAPRIKA, CHIEN
TECKEL.22. UNE CURIEUSE RELATION S'INSTAURE ENTRE VANKA ET SA
MAITRESSE
Juliet HAAS, h.juliet1@rambler.ru
Cet
article est le vingtième cinquième
épisode d’un récit de Juliet remontant à sa petite enfance.
On en atteint le déroulement depuis la
fin de ce texte : CLIC
Nous
arrivâmes à l'heure du diner.L'éleveur nous avait
fourni la nourriture habituelle de Vanka.
Une fois descendue de la voiture,elle
avait l'air complètement perdue.
Je la tenais en laisse.
Nous pénétrâmes à l'intérieur,refermâmes
la porte,et je détachai la laisse.
Mademoiselle de la Buffotière jeta un rapide coup d’œil,et se précipita derrière le canapé,s'asseyant,à distance,nous
regardant de la même façon qu'à l'élevage.
Elle n'avait aucunement envie de s'approcher,et encore moins de manger.
Top et moi pensâmes qu'il ne fallait rien tenter,la laisser tranquille,mais
que,par-contre,il fallait lui parler,et
lui expliquer tout ce que nous faisions.
Je dis alors à Vanka:
''Tu vois,Vanka,nous sommes
à la maison,tu es arrivée,tu
seras très aimée,dorlotée,embrassée,tout
au long de ta vie.
Tu n'as rien à craindre,tu
vas voir,tu vas très vite t'habituer,et
tu seras très heureuse.
Là,nous avons faim,aussi allons-nous faire à manger en vitesse.
Si tu veux manger,tu nous le
fais savoir.
Nous sommes là pour te servir,demandes
tout ce que tu veux,tu l'auras immédiatement.''
Pendant que je lui parlais,elle
me regardait,en se demandant visiblement qui était
cet animal étrange et si bavard.Cela n'avait pas
l'air de lui déplaire,mais elle restait toujours dans
son coin.
Top,n'y
tenant plus,se précipita vers elle.Il
la prit dans ses bras,s'assit sur le canapé avec elle,et la retourna sur le dos,la
couvrant de baisers passionnés.
La petite se laissait faire,comme
une poupée de chiffons.
Puis,il se leva,la laissa couchée sur le canapé,et
elle y resta.
Nous faisions des allées et venues,et
Vanka ne bougeait pas de son nouveau poste
d'observation.
Pendant notre diner,nous
essayâmes de mettre la petite en appétit,mais elle
refusait toute nourriture.
Cependant,elle continuait à
boire nos paroles,mais ne donnait rien en retour.
J'allai m'asseoir à côté d'elle,et pus la caresser.
Mais elle restait froide et distante.
Son pelage noir luisait dans la pénombre,et
ses yeux intelligents étaient lointains,comme
pénétrés par un songe.
Je retournai à table,avalai
mon repas en vitesse,puis me rassis près d'elle.
Je lui mis sa laisse,elle
descendit du canapé,et me suivit sans mot dire.
Je voulais lui montrer le jardin,et
lui faire faire ses petits besoins.
Tout
à coup,elle s'affaissa,son fouet légèrement relevé,avec
beaucoup de grâce,et elle fit un magnifique pipi,récompensé immédiatement par une pluie de baisers sur
sa tête et son cou.
Je la promenai ainsi quelques minutes,puis
nous retournâmes à la maison.
Je la détachai,et elle
alla-miracle-vers le bol d'eau que je lui avais préparé,et
but longtemps,avec une expression sérieuse et sage.
Je me dis que c'était le moment de lui donner son dîner,que-encore miracle-elle mangea.
Puis,nous nous installâmes
tous les trois sur le canapé,et passâmes une
délicieuse soirée,à la dorloter.Enfin,elle
y prenait plaisir.
Lorsque nous partîmes nous coucher,Top
la prit dans ses bras,car elle ne savait pas monter
les escaliers.
Nous la mîmes sur le lit,et,d'elle-même,elle
sauta par-terre et alla se coucher sur la descente de
lit.Elle s'endormit très vite,et
je la retrouvai là,le lendemain.
Elle n'avait pas bougé de la nuit.
Je sortis Vanka
tout de suite,et elle fit un
gros pipi.
En fait,elle était très propre,c'était une très bonne chose.
Le dressage à la propreté m'ennuie considérablement,et là,il n'y avait rien à
faire.
Je bus mon café,et je
décidai d'apprendre à Vanka à monter et à descendre
les escaliers.
J'allai avec elle au fond du jardin,où
il y avait un escalier,le jardin étant en pente à cet
endroit.
Je commençai à monter,et Vanka s'arc-bouta sur ses pattes avant,refusant
d'avancer.
Je redescendis la marche,et
je lui dis:
''Je vais t'apprendre à monter,laisse-toi faire,je te tiens,tu ne tomberas pas,c'est promis.''
Elle me regarda,et je lui
fis oui de la tête,d'un air entendu.
Je passai le bras droit par-dessus son dos,et
attrapai solidement son avant-bras droit,ainsi que le
gauche avec mon autre main.
Je soulevai les deux pattes,et
les posai sur la troisième marche.
Elle se maintint d'elle-même dans cette position,attendant la suite des événements.
Je lui dis de ne pas bouger,puis
je lui attrapai le train arrière,et posai ses pattes
sur la première marche.
Elle attendit encore,sans
bouger.
Je repris ses pattes avant pour la monter sur la marche suivante,puis je refis de même avec les pattes arrière.
Je lui dis alors:
''As-tu compris le principe? Tu vois bien que tu ne tombes pas! Tu vas essayer
toute seule,je suis là,je te tiens,tu ne risques rien.Vas-y!''
Je n'avais pas dit ces mots qu'elle mit une patte avant sur la marche suivante.Je l'encourageai à y mettre l'autre,ce qu'elle fit.
Puis,elle passa ses pattes
arrières sur la marche suivante,s'arrêta,et me regarda,toute étonnée.
Je lui dis alors:
''Tu vois que tu y arrives,tu
as compris,alors,vas doucement et continue.Allez,vas-y,mais doucement!''
Elle s'exécuta,et alla de
plus en plus vite.
Elle faillit s'empêtrer,et
je lui dis:
''Doucement!''
Elle comprit,et alla plus doucement.Elle monta l'escalier jusqu'en haut,ravie d'avoir commis cet exploit du premier coup.
''Vanka,''lui
dis-je,''tu sais monter,maintenant,il faut
apprendre à descendre.
Et je descendis quelques marches,puis
remontai.
Elle me regardait d'un air paniqué,refusant
de se laisser prendre les pattes.
Je lui dis qu'il fallait absolument qu'elle apprenne,et que,même si elle avait peur,elle devait prendre sur elle.
Je lui expliquai que c'était la même chose,dans
l'autre sens,mais que c'était le vertige qui
l'empêchait de le faire.Je lui dis encore de regarder
ses mains,sur la marche,et
pas plus loin.Je lui baissai la tête:
''Tu vois,Vanka,comme ça,tu
vois tes mains,alors,descends-les sur la marche!''
Elle releva son nez,pour me
regarder.
''Non!regarde tes mains!'',lui
dis-je fermement,lui baissant à nouveau le nez.
Et Vanka commença à descendre!
''Vas-y!Doucement!'',l'encourageai-je.
Les pattes arrières suivirent,puis
les pattes avant,et ainsi de suite.
Une fois en-bas,je la
félicitai en lui faisant mille caresses et baisers.
Puis,je lui proposai de tout
refaire.Elle remonta,puis redescendit,le plus naturellement du monde.
Je rentrai à la maison,pour
faire part à Top des exploits de Vanka.
En fait,cette chienne,qui vivait dans un élevage,qui
n'avait pas été dressée,ni à la propreté-l'éleveur
m'avait dit qu'il lui faudrait quelques jours-ni à la marche en laisse,ni à rien,s'avérait
marcher parfaitement en laisse dès l'instant où elle était sortie de l'élevage,s'avérait aussi être déjà propre,et
apprit à monter et descendre les escaliers en cinq minutes.
De plus,elle comprenait tout
ce que je lui disais.
Je pensai alors à Paprik,qui
comprenait aussi tout ce que je disais,et j'eus une
bouffée de chagrin qui m'envahit des pieds à la tête.
Des larmes sortirent de mes yeux,et
se mirent à couler,comme une fontaine,sans
que j'eus de sanglots.Mes yeux pleuraient tout seuls,et la chaleur des larmes sur mes joues m'était agréable,comme si Paprik était en
train de me caresser.
Je compris à cet instant qu'il n'y avait aucun espoir que je réussisse à faire
un jour le deuil de Paprik,et
que,toute ma vie,je le pleurerais.L'avenir me donna raison.
Les vacances touchaient à leur fin.
Nous étions en plein hiver,et
il faisait un temps de printemps.
Nous allâmes nous promener sur une plage,et
je détachai Vanka.
Elle marcha d'elle-même,juste
derrière nous,son museau dans le creux de nos genoux.
Cette chienne était extraordinaire: pas une seule bêtise,auto-éduquée,âgée de six mois seulement,mais
avec un comportement de chien adulte,pour ne pas dire
franchement mature.
Le soir,je ne me sentis pas bien,et je me couchai.Top la
déposa sur le lit,à côté de moi.
Contrairement à son habitude,elle
n'en descendit pas.Elle me regardait fixement,et il se passa un phénomène ahurissant,que
je mis sur le compte de mon malaise: Vanka me parlait,en me disant des choses réconfortantes.
Je sentais ses paroles comme par télépathie.
C'était un phénomène tout à fait nouveau,qui
me troubla profondément.
Je lui répondais,et,à son tour,elle m'envoyait ses pensées.
Je continuai à me demander si ce n'était pas de la fièvre qui me faisait délirer,car je comprenais
nettement ce qu'elle me disait.Pourtant,je n'avais
pas de température...
Je m'endormis,bercée par ces
douces paroles.
Lorsque
je fis les valises pour le voyage de retour,Vanka avait parfaitement l'air de comprendre ce qui
se passait.
Elle me regardait ranger,l'on
eût dit qu'elle voulait s'assurer que je n'avais rien oublié.
Je
m'arrêtai,pour la regarder,avec une objectivité que je n'avais pas eue jusque-là.
Elle était assise,comme Anubis,sa longue queue toute droite,par-terre,dans
la parfaite prolongation de sa colonne vertébrale.
Elle avait l'air adulte,mais
elle était plus petite qu'un adulte,et un peu maigrichonne.Ses oreilles étaient un peu grandes pour sa tête,et ses joues étaient légèrement creusées.
Il y avait en elle un je ne sais quoi de souffreteux.Elle
avait l'air,non pas malade,mais malsaine.
Je m'approchai d'elle,pensant
à ces ravissantes jeunes filles du dix-neuvième siècle,tuberculeuses,à
l'haleine caractéristique de fleur de violette.
Je l'embrassai sur sa bouche,qu'elle
entrouvrit légèrement.
Je cherchais le parfum de violette,continuant
à l'embrasser plus profondément,mais je sentis un parfum,plus âcre,de bruyère.
Je retournai alors à mes occupations.
Vanka n'avait pas bougé,pendant mon long baiser langoureux.Elle
était restée assise,comme une statue.
Son comportement n'avait décidément rien,mais
rien,de celui d'un chiot.
Elle était impressionnante,intimidante
même.
Son regard était si intelligent,si
mystérieux et si protecteur,que je me sentais
rassurée en sa présence.
Mais je n'avais pas l'impression d'avoir une chienne,à côté de moi.
J'avais l'impression d'être en compagnie d'une jeune femme,à la fois douce et énigmatique.
Elle respirait l'honnêteté,et
la bienveillance.
Je la sentais aussi intelligente que Paprika,mais il n'y avait rien en elle,comme
chez Paprika,de narquois,de
mensonger,ni de diabolique.
Elle était le contraire de Paprika,elle
avait l'air d'une pureté absolue,d'une jeune vierge
désireuse de rentrer au couvent pour y mener une vie de sainteté.
Je me remémorais la veille,où
elle avait parlé avec moi par télépathie,et je me
demandais si ce phénomène se reproduirait à nouveau.
Pendant le voyage,Vanka se mit sur la banquette
arrière,seule,cette fois,et
on ne l'entendit pas de tout le voyage.
J'appréhendais sa rencontre avec Mélusine,craignant
qu'elle ne la dévorât d'un coup de dents.
Une fois arrivés,Mélusine-qui
avait été gardée à domicile par une copine-se précipita à notre rencontre.
Vanka montra les dents et voulut la happer.
Heureusement,elle rata son
coup.
Je lui dis alors:
''Ecoute,Vanka: Mélusine est
le seul de mes animaux bien-aimés,d'avant toi,qui me reste.Si tu la dévores,je t'en voudrai terriblement.'' Elle ne toucha plus
jamais un chat de sa vie!
Je
n'arrivais pas à ne plus penser à Paprika,j'aurais voulu qu'il me fasse signe,mais,depuis
un certain temps,il ne se manifestait plus du tout.
J'allai me coucher ce soir là,espérant
encore une fois entendre ou sentir un signe de lui.
Mais rien ne vint.
Il paraît-d'après certaines théories,fumeuses ou non- qu'il est néfaste pour les morts de
trop les appeler,car cela les empêche de
''s'élever''.
Mais,néfaste ou non,cela me faisait du bien de sentir mon Paprik,sous sa forme nuageuse.
Je finis par m'endormir,et
je fis un cauchemar: je voyais Paprika se faire écraser par un car,sous mes yeux.
Je me réveillai en sursaut,allai
à la cuisine pour me faire un thé et fumer une cigarette,lorsque
Vanka apparut sur le seuil de la porte,me
regardant fixement.
Et là,la ''voix'' de Vanka,que j'avais entendue le jour où j'étais malade en Bretagne,m'apparut nettement par télépathie:
''Ce n'est rien,tu peux te recoucher,tu
ne feras pas d'autre cauchemar.''
Je croyais avoir la berlue,mais,en ''parlant'',Vanka souriait.
Lorsque
la ''voix'' se tut,grave,un peu comme une voix masculine,la
chienne poussa un long gémissement avec le même timbre de voix!
Je n'en revenais pas,et je répondis,mal assurée:
''Oui,Vanka,je vais y aller.Mais
acceptes-tu que je boive ce thé et que je fume ma cigarette,pour
me calmer?''
Et,là,nettement,Vanka étira
son museau,et dit,de sa
voix à elle:
''Wouyyy''.
Je n'y comprenais plus rien.Je
lui demandai alors:
''Vanka,tu parles!Tu sais parler!''
Et elle répondit:
''Wouyyy'',de sa voix grave.
Curieusement,je n'avais
absolument pas l'impression de perdre la raison,ou de
délirer.Tout cela était d'une parfaite clarté,comme lorsqu'un humain vous parle.
''Vanka'',lui dis-je alors,''est-ce Paprika qui t'envoie?''
''Wouyyy'',répondit-elle.
Je poursuivis sur ma lancée:
''Mais,le coup de téléphone
à l'éleveur,c'est un coup monté entre Paprika et toi?
''Wouyyy'',dit-elle,tordant sa bouche pour essayer d'ajouter quelque
chose.
N'y arrivant pas,elle me
reparla par télépathie,toujours avec la même netteté:
''Paprika,moi,et Ultra.''
''Et Moon?''demandai-je.
Et là,elle reprit,en parlant elle-même:
''Nonononon''.Je l'écris ainsi pour le retranscrire,mais,pour être tout à fait claire,c'était
un non,très long,avec le
''n'' du début très avorté,plutôt un ''on''très long.
Je bus mon thé,je fumai tranquillement,et je dis à Vanka:
''Vanka,tu me fais un immense plaisir.Moon
aimait tellement ses anciens maîtres,son abandon l'a
complètement traum...
Elle me coupa:
''Je sais'',dit-elle,par télépathie.
Elle se tenait assise,toujours
dans sa position de chien égyptien,et nous nous
tûmes.
Je pensais à toutes ces choses incroyables qui m'arrivaient,lorsque je voulus m'allumer une deuxième cigarette.
''Viens te coucher,maintenant'',dit la ''voix''.
Je remis la cigarette dans le paquet.Vanka s'était
levée.
Elle me fit un signe de tête-exactement comme Toscan lorsqu'il m'invitait en
promenade-et je la suivis.
Note : Juliet se
verrait bien être l’auteur d’un ou plusieurs ouvrages autour de vaste thème de notre
relation à l’animal de compagnie, tout au long de la vie. Qui aurait des
connaissances intéressées dans le monde de l’édition, serait très aimable
d’établir le contact avec Juliet
Retour en
tête de texte : CLIC
Episodes précédents
du cheminement de Juliet avec Paprika, son teckel chéri : partir de CLIC;
Haas Juliet(2013), Mes animaux de compagnie et moi. XXIII. Paprika, chien teckel.21.
Paprika reprend les choses en
main, sa maitresse le comprendra-t-elle
Haas Juliet (2013), Mes
animaux de compagnie et moi. XXIII. Paprika, chien teckel.20. Une sombre
vengeance de Paprika
Haas
Juliet (2012), Mes animaux de
compagnie et moi. XXII. Paprika, chien
teckel.19. Tristes aventures de Moon et arrivée d’une nouvelle amie
Haas Juliet
(2012), Mes animaux de compagnie et moi.
XXI. Paprika, chien teckel.18.Paprika m’est plus présent
après sa mort qu’auparavant !
Haas Juliet(2012). Mes animaux de
compagnie et moi. XX. Paprika, chien teckel.17. L’amour de sa maitresse pour
Paprik en fin de vie laisse pantois
Haas
Juliet (2012), Mes animaux de
compagnie et moi. XIX. Paprika, chien
teckel. 16. Paprika a fait un scandale
au sein de ma belle famille
Haas Juliet
(2012), Mes animaux de compagnie et moi. XVIII. Paprika, chien teckel.15. Paprika avec sa maitresse, spécialistes en voyance
Haas Juliet (2012),
Mes animaux de compagnie et moi. XVII. Paprika,
chien teckel.14. Histoires palpitantes de chiens, avec en final Paprik couronné
Haas Juliet (2011), Mes animaux de
compagnie et moi. XVI. Paprika chien teckel.13.
Paprik avale 42 ou43 morceaux de sucre, fête son10ème anniversaire, rencontre
un chien berger allemand
Haas Juliet (2011), Mes animaux de compagnie et moi. XV. Paprika chien teckel. 12. Prendre le train avec un chien, cela va
encore, mais avec deux c’est l’enfer
Haas Juliet
(2011),Mes animaux de compagnie et moi. XIV. Paprika chien teckel.11. Paprika fait fuir les hommes approchant de près
sa maîtresse
Haas Juliet (2011), Mes animaux de compagnie et moi. XIII. Paprika, chien teckel 10. Le bien
curieux duo de Paprik avec Moon, autre chien accueilli
Haas Juliet(2011)°, Mes
animaux de compagnie et moi. XII. Paprika,
chien teckel. 9. Des épisodes de
fugue de Paprika déjà, de la chatte Mélusine aussi
Haas Juliet (2010), Mes animaux
de compagnie et moi. XI. Paprika, chien
teckel.8.Paprika initie la chatte Mélusine à l’amour.Paprika
et Mélusine accompagnent mes études de
musique
Haas Juliet (2010), Mes animaux de compagnie et
moi. X. Paprika, chien teckel. 7.
Retour à Paris, Paprika s’offre mon jambon, nous invite au restaurant, séduit la restauratrice, a une surprise
avec deux dames très spéciales
Haas
Juliet(2010), Mes animaux de compagnie et moi. IX. Paprika, chien
teckel.
6. Arrivée de la chatte « Mélusine »,
Stage en Italie, Voyage dans le Sud de la France
.Haas Juliet (2010), Mes animaux de
compagnie et moi. VIII. Paprika, chien
teckel.5. «Jamais deux sans trois ! »
Haas Juliet ( 2010), Mes animaux de compagnie et moi. VII. Paprika, chien teckel. 4.'' Patrika avec….mon
amoureux, les jeunes filles, les
contrôleurs de train, et autres gens''
.Haas Juliet(2010), Mes animaux de compagnie et moi. VI. Paprika, chien teckel. 3.''Je pars vivre seule avec Paprika,et…je
l'emmène à l'école''
Haas
Juliet (2010), Mes animaux de compagnie et moi. V. Paprika,
chien teckel .2. Paprik dans toute sa grandeur
. Haas Juliet (2009), Mes animaux de compagnie et moi. IV. Paprika, chien teckel .1. Je fais connaissance
Les articles à CLIC1, CLIC2, CLIC3 sont pour l’avant de la
rencontre de Juliet avec Paprika
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tête de texte : CLIC