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Janvier
2012
LA
PSYCHOLOGIE DE LA SOLITUDE
Gérard MACQUERON
- Editions Odile Jacob – 2009
Extraits choisis
par Henri Charcosset
Introduction d’Henri Charcosset
L’ouvrage vise à souligner les bienfaits
de l’expérience de solitude.
« Elle fait partie de notre
expérience de vie. Elle est incontournable et vouloir la fuir, c’est se fuir
soi-même. Même si notre besoin de l’autre est très grand, il ne peut remplir
totalement notre vie et nous apporter la sécurité que nous recherchons. Cette
sécurité, il faudra la trouver en nous même».
J’ai
fait de mon mieux, mais le mieux est d’avoir l’ouvrage en main. On le lira en
lecture rapide déjà, avant de revenir aux endroits du livre nous ayant le plus
marqués. Cette sélection sera très
dépendante d’un lecteur à l’autre. Un bon « bouquin » c’est
sûr ! H.C.
Sur ce site, un certain nombre d’articles traitent déjà directement
ou non, du sentiment de solitude et de la façon de vivre avec :18 Références en fin de cet article
°°°°°
(p 36 à 39) Toutes les situations
désagréables, douloureuses, éprouvantes, vécues dans la solitude nous en
donnent une représentation biaisée et stigmatisée. Nous associons implicitement
la solitude à ces moments de notre vie, comme si elle était la cause de ce
ressenti négatif, alors qu’elle est la conséquence d’une situation pénible.
A l’inverse, nous n’avons en général pas
suffisamment appris à avoir des moments bénéfiques de solitude.
Nous n’avons pas appris à être seul
« A chaque fois que je me retrouve
seul, cela se passe mal. »
« J’ai appris beaucoup de choses,
mais pas à vivre seul. »
« Pourquoi faire les choses seul
quand on peut les partager à deux ? »
« Penser aux autres me permet de ne
pas penser à moi. »
La solitude fait peur, parce qu’elle
ravive en nous des souvenirs douloureux, mais aussi parce que nous n’avons pas
appris à l’apprivoiser. Nietzsche l’avait souligné : « Le défaut le
plus répandu de notre type de formation et d’éducation : personne
n’apprend, personne n’aspire, personne n’enseigne… à supporter la
solitude ».
Chacun s’emploie à ne pas être confronté
à cette source de tant de souffrances sans réfléchir sur la manière dont il
pourrait apprendre à mieux la vivre. Une des craintes des parents n’est-elle
pas que leur enfant s’ennuie, qu’il n’ait, seul, rien à faire ?
Dès leur plus jeune âge, nos enfants
sont donc en activité permanente. Les temps libres sont supprimés. L’oisiveté
combattue. Cela a le mérite de les stimuler. Mais si tel est l’objectif,
diminuer le temps libre de l’enfant augmente-t-il réellement ses
performances ? Sera-t-il pour autant plus tard un adulte plus éveillé,
plus cultivé, plus épanoui ? Et quid
de la capacité de penser, du potentiel créatif, des désirs profonds de
l’enfant ?
Dans ce programme chargé, qui
s’intéresse véritablement à ce qu’il ressent, éprouve, vit
intérieurement ? Qui apprend aux enfants à comprendre leurs émotions, à
identifier leurs besoins profonds, à verbaliser leur ressenti ? Plus tard,
adultes, comment pourront-ils rester seuls s’ils ne l’ont jamais expérimenté
auparavant ? Sauront-ils gérer ce face-à-face avec eux-mêmes sans
angoisse ?
Pourtant, c’est la solitude, et pas
l’accumulation des activités ou des apprentissages, qui permet d’avoir une
meilleure connaissance de soi, une conscience de soi plus juste, élément
indispensable à notre épanouissement personnel. Parce que nous n’avons pas
appris à apprécier la solitude, seule demeure en nous l’angoisse d’une solitude
amère, et tous les moyens sont bons pour y échapper. C’est dès l’enfance que
nous devrions éduquer nos enfants à supporter et aimer la solitude. A nous,
parents, d’accepter de les voir parfois s’ennuyer, perdre du temps afin que naissent
les désirs, que se développent la créativité, le rêve.
Le solitaire dérange
Celui que jouit pleinement de sa
solitude, nous paraît étrange, il inspire la méfiance plus que le respect.
Encore aujourd’hui, dans notre société
occidentale, pourtant très individualiste, le « solitaire heureux »,
qui assume sa solitude, interroge.
Pourtant, assumer sa solitude, c’est
vouloir rester libre d’être soi-même. Le solitaire s’oppose aux valeurs de notre société de
consommation basée sur le plaisir facile et immédiat. Il n’estime pas que
l’homme doive obligatoirement vivre en société et en famille pour être heureux
et se réaliser. Il prône la liberté individuelle et l’expression de soi. Il
s’attache à développer une vie intérieure ou spirituelle plus épanouissante à
ses yeux. Il se prend en charge, assume ses convictions et ses actes, gère sa
peine, défend ses valeurs. Il connaît la joie de vivre sans être
obligatoirement entouré, apprécie les relations sociales sans se laisser
envahir, il connaît ses limites entre lui et l’extérieur. Sa capacité à
supporter la solitude témoigne de son équilibre intérieur.
Le solitaire remet en cause de
nombreuses croyances, une conception du bonheur facile, la tranquillité
quotidienne d’une vie illusoire construite sans renoncement, sans effort.
Des bienfaits rarement verbalisés
Nous avons plus de témoignages de
personnes qui souffrent de la solitude ou s’en plaignent que de personnes qui
la vivent agréablement. Les descriptions positives des moments de solitude
restent rares, et sont souvent d’ordre mystique ou religieux. […]
La solitude réveille nos peurs, qu’elles
soient existentielles et innées, inhérentes à notre condition humaine,
relatives à des faits historiques et transmises culturellement, ou qu’elles
évoquent des souvenirs personnels douloureux. En toute logique, nous évitons
donc d’y être confrontés. Certains emploient d’ailleurs leur vie à esquiver les
moments de solitude au risque de se perdre.
Pour autant, nous avons besoin de
solitude pour intégrer un à un les événements de notre vie et pour les
intérioriser. La solitude fait partie de notre expérience de vie. Elle est
incontournable et vouloir la fuir, c’est se fuir soi-même.
(p 46 à 47) La prise de conscience de la réalité
d’autrui, du fait qu’il ne pense pas comme nous et ne réagit pas à nos
sollicitations comme nous le souhaiterions, nous aide à construire des
relations équitables basées sur le respect et la tolérance, dans lesquelles
chacun accepte l’autre tel qu’il est, pour ce qu’il est.
Assumer sa solitude contribue à créer
des relations humaines plus satisfaisantes entre des êtres plus libres et plus
responsables. Notre vraie richesse, la source de nos joies les plus profondes
proviennent de notre capacité à nouer des relations sociales et affectives durables
et nourrissantes avec nous-même, les autres et le
monde qui nous entoure. Et pour mettre en place ce type de rapport, il nous
faut acquérir une certaine sérénité, une paix intérieure, une conscience de soi
que seule l’expérience de la solitude nous apporte. Car nous ne pouvons être en
harmonie avec les autres si nous ne le sommes pas au préalable avec nous-même.
Se libérer de sa dépendance affective
[…] « Discerner ce qui est possible
de ce qui ne l’est pas, reconnaître ses limites, ne plus idéaliser les autres,
ne plus dépendre d’autrui, pouvoir construire une vie affective sans angoisse
excessive et sans renoncer à son indépendance, m’apporte un bien-être et une
force intérieure, la sensation nouvelle, excitante et émouvante d’être
moi-même, de voler de mes propres ailes. »
Chacun d’entre nous fera l’expérience de
séparations successives. Et chaque séparation s’accompagne du sentiment de
solitude. Se séparer pour trouver son autonomie et construire son
identité : l’être humain, paradoxalement, ne peut être indépendant et
autonome que dans l’apprentissage de la séparation et donc de la solitude. Il
ne peut vivre en harmonie avec les autres que s’il est d’abord en paix avec
lui-même. L’expérience de la solitude, c’est l’apprentissage de l’indépendance
qui passe par la paix avec soi-même. L’autre n’est aimé pour lui-même que s’il
n’a pas pour fonction de combler un vide.
Pourtant, de nombreuses personnes
entretiennent des relations sociales pour se sécuriser, se sentir protégées,
aimées et non pour construire une relation, partager une intimité. Leurs
proches sont là uniquement pour combler un manque, calmer leur angoisse. Elles
tissent des relations de dépendance comme si elles ne pouvaient parvenir à se
réaliser par elles-mêmes. Elles s’organisent pour ne jamais être seules. Elles
sont prêtes à tout pour ne pas être confrontées à elles-mêmes : renoncer à
certaines valeurs, à leur liberté, à leurs projets de vie ou intérêts
personnels, à leur identité. Tout est bon pour ne pas rester seules.
Etre vrai en respectant autrui,
ressentir la joie d’être au plus près des autres en restant soi-même, pouvoir
exprimer sa fragilité sans honte, ni crainte, abandonner les rapports de
pouvoir au profit de relations équitables, identifier et écouter ses propres
besoins sans les imposer, oser faire des choix qui nous engagent, voilà un
vaste projet pour qui veut vivre libre et responsable. Et le chemin qui nous y
conduit passe par la solitude car c’est elle qui nous éclaire sur nos besoins,
nos tourments intérieurs, nos désirs cachés. […]
(p 52 à 54) Etre capable d’être seul
avec soi-même et continuer de s’aimer, de croire en soi alors que les
contraintes de la vie s’opposent à nous. Savoir apprécier le calme, le silence
et écouter les messages de notre corps. Prendre soin de soi. Se préoccuper de
soi. Apprendre à se respecter. Oui tout cela s’apprend dans la solitude. Car la
solitude nous révèle à nous-même. La solitude nous
incite à nous connaître plus profondément, à être juste et authentique envers
nous et à nous accepter.
Pour parvenir à une existence
authentique, se saisir comme unique, il nous faut avoir traversé et dépassé
l’angoisse de solitude. Au cœur de la solitude se découvre notre richesse.
Même si notre besoin de l’autre est très
grand, il ne peut remplir totalement notre vie et nous apporter la sécurité que
nous recherchons. Cette sécurité, il faudra la trouver en nous-même.
Avec l’âge et l’expérience de la vie, nous sommes de plus en plus conscients
que les déceptions et les joies sont des réalités de la vie. Acceptée comme
telle, la solitude devient source de créativité, de dépassement de soi-même. A
mesure que nous avançons en maturité, la solitude devient positive. Elle
contribue à élargir notre conscience d’être, à consolider notre sentiment
d’identité et à enrichir notre vie. C’est pourquoi elle est pour certains une
démarche intérieure voulue, choisie et s’associe alors à un sentiment de
plénitude, d’harmonie, de bien-être.
Psychologie de la solitude
Alors que de nombreux travaux en
psychologie se sont attachés aux relations sociales et à la qualité du lien
relationnel –qu’il s’agisse du lien de la relation d’objet comme le décrivent
les psychanalystes, de la théorie de l’attachement développée par John Bowlby ou des compétences sociales et de la capacité à
avoir de l’empathie, dont parlent les thérapeutes cognitivo-comportementalistes-,
la solitude a peu été étudiée pour elle-même. En effet, dans ces théories, la
solitude et le sentiment douloureux qui en découle résultent le plus souvent
d’un dysfonctionnement relationnel, qui ferait écho à une relation
parent-enfant défaillante. Une problématique relationnelle dans la prime
enfance conduirait à établir ensuite une relation pathologique avec ses pairs.
Schématiquement, pour les
psychanalystes, celui qui souffre de solitude ne sait pas se séparer, se
détacher, et l’absence de l’objet d’amour, vécue comme un abandon, crée un
vide, un manque. L’origine de cette souffrance est fonction de la nature de la
relation mère-enfant et dépend étroitement des premières expériences de
séparation au cours de la petite enfance. Cette thématique est reprise en
partie par les tenants de la théorie de l’attachement, pour lesquels la nature
de l’attachement conditionne ensuite les relations aux autres. Les théories cognitivo-comportementales et de la communication
envisagent plutôt les relations humaines comme résultant d’un apprentissage, un
certain apprentissage étant nécessaire et indispensable à l’établissement de
relations sociales de bonne qualité : celui qui souffre de solitude n’a
pas appris ou a mal appris à construire des relations sociales et affectives
adéquates.
Au-delà des interprétations différentes,
on voit en tout cas que la solitude est toujours décrite en référence à la vie
sociale ou affective : souffre de solitude celui qui n’est pas inséré
socialement, celui qui n’arrive pas à établir des relations affectives
satisfaisantes, soit qu’il n’ait pas bénéficié d’une relation de qualité dans son
enfance, soit qu’il n’ait pas appris à développer les compétences sociales lui
permettant d’entretenir des relations harmonieuses et épanouissantes.
S’il est indispensable de prendre en
compte la nature des relations sociales et affectives, on ne peut résumer la
souffrance liée à la solitude à l’incapacité à nouer des relations.
N’est-elle pas liée aussi à une mauvaise
estime de soi ? A une incapacité à se réaliser ? Au refus d’être
soi-même, de devenir adulte ? […]
Que faites-vous quand vous êtes
seul ? (p 129)
Rappelez-vous, ne rien faire, ressasser
ses malheurs dans l’attente d’une amélioration providentielle est ce qui rend
la solitude insupportable. Cette attente passive qui limite vos initiatives
vous place d’emblée en position de dépendance vis-à-vis de votre environnement
qui vous apparaît comme la seule source de mieux-être possible puisque vous
misez tout sur lui, vous espérez tout de lui. En outre, le fait d’attendre est
source d’angoisse, d’impatience.
Aussi, quand on souffre de solitude, le
but n’est pas tant de ne plus être seul et de trouver immédiatement quelqu’un
coûte que coûte pour nous apaiser, mais surtout de ne pas rester inactif et
oisif.
Néanmoins vous ne pouvez pas être en
permanence occupé, et il ne s’agit pas non plus de se lancer à corps perdu dans
une fuite en avant pour ne plus penser. L’objectif n’est pas de vous
transformer en hyperactif, mais de vous organiser, de prévoir une activité pour
les situations critiques, pour ne plus être confronté à un débordement
émotionnel.
Internet pour faire face à la
solitude ? (p 156)
De nombreuses personnes utilisent
Internet pour échapper à la solitude. Les jeux, le « chat », les
forums de discussion, la recherche d’informations sont autant de solutions
efficaces pour gérer la solitude. Dans le même temps, rester seul devant son
ordinateur plusieurs heures, communiquer anonymement, jouer sans véritable
échange entretient l’isolement. Aussi Internet est autant un moyen d’entrer en
communication, de tisser des liens qu’un piège potentiel, qui enferme son
utilisateur dans un monde virtuel avec le risque d’être rapidement déconnecté
de la réalité.
A consommer avec modération et recul
donc. Pour vous y retrouver voici quelques sites Internet :
-
Site
de réseau social pour rester en lien avec ses amis, développer son tissu
relationnel en fonction de son profil : Facebook,
Netlog, Hi5, Badoo, MySpace…
-
Sites
communautaires pour rencontrer des personnes pour partager une passion, des
activités de loisir : Onvasortir, Allons-sortir,
Kikepartant, Sortiraparis,
Peuplade…
-
Sites
pour retrouver des amis perdus, de vieilles connaissances : Amisperdus, Chasseursdamis, Copainsdavant…
-
Sites
de rencontre pour célibataire qui recherche l’âme sœur : Netinthecity, Meetic, Ulteem, Zoosk, UneRencontre, Serencontrer…
Néanmoins, très souvent, on reste seul
aussi parce qu’on manque d’aisance sociale, on évite de prendre des risques par
peur d’être rejeté ou de déranger, ce qui explique justement en grande partie
l’isolement social. […]
Conclusion (p 280)
« Dans le silence et la solitude on entend
plus que l’essentiel. »
Camille Belguise, Echos du
silence
La solitude est un remède pour l’homme.
Elle lui offre la possibilité de choisir sa vie. Miroir, elle lui présente les
reflets les plus secrets de son histoire, les plus intimes de son être, à son
grand désespoir parfois. Car l’image qu’il perçoit n’est pas toujours celle
attendue. Mais celui qui reste fidèle à lui-même, s’accepte comme il est,
accède à un bien-être authentique et solide. La solitude est donc une promesse
pour soi.
C’est la possibilité pour chacun d’avoir
une autre écoute de soi, de procéder à un examen de conscience, une remise en
question fondamentale.
En apprenant à s’aimer, à se considérer,
en dépassant ses craintes, en se libérant d’un passé trop lourd à porter, on
apprend à éprouver du plaisir à se retrouver seul. On observe alors que la
solitude n’est ni une prison ni une clôture qui isole, mais un moyen, en étant
soi-même, d’aller à la rencontre de l’autre avec humilité et de l’accueillir
avec bienveillance.
Références sur ce site
André Christophe et Françoise Lelord, L’estime
de soi, s’aimer. Pour mieux vivre avec les autres (
ouvrage,1999)
Bensaïd Catherine,
Aime-toi,
la vie t’aimera. Comprendre sa douleur pour entendre son désir( ouvrage, 1992)
Bobin Christian . L’irradiance du dénuement, ou S’élever
au-dessus de son sentiment de solitude
Charcosset Henri
(2010), Le chômage et d’autres
conditions de vie favorisant l’isolement. Une approche Internet pour contribuer à y remédier
Charcosset Henri (2011), Christaux
d’amour (Pseudonyme), Mitsori (Pseudonyme) (2011), De la
web entrée en relation à l'amitié,
parfois l’amour
Gaucher Jacques(1995), Le sentiment de solitude
Guillebaud
Jean-Claude, Le goût de l’avenir(ouvrage, 2003)
Hirigoyen
Marie-France, La vie sans sexe. Les nouvelles solitudes (
ouvrage, 2007)
Kelen Jacqueline, L’esprit de solitude(
ouvrage, 2001)
Kelen Jacqueline, Aimer d’amitié. L’amour véritable commence
avec l’amitié ( ouvrage, 1992)
Maillard Catherine(2010), Les nouvelles solitudes : Les
comprendre, les déjouer !
Maillard Catherine (2010), Comment mieux vivre ensemble?
Monestes Jean-Louis,
Faire la paix avec son passé ( ouvrage 2009)
Nabati
Moussa , Le bonheur d’être soi (ouvrage 2006
Salomé Jacques (2005), Relation à
soi-même. Passeport pour le bien-être
Storr Anthony, Solitude. Les
vertus du retour à soi-même(ouvrage, 1988 américain ,
traduit 1991)
Vincent Gilbert (2009), Etre un bon compagnon pour soi-même, en vue de
bien vieillir
Zarifian Edmond,
Le goût de vivre. Retrouver la
parole perdue( ouvrage, 2005)