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                                                JANVIER 2008

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EQUILIBRER SA VIE RELATIONNELLE ET SOCIALE ACTIVE, EN VIVANT SEUL ET SANS EMPLOI, A 50 ANS.

 

Gilbert VINCENT

 

1 Introduction

 

2 Aperçu général

 

A/ Maintien d’une certaine régularité.

B/ Modification des contacts.

C/ Occupations différentes de nos journées

D/ Informations auprès des responsables de divers activités. 

 

3 Pourquoi existe-t-il un grand décalage entre les possibilités d’insertion affichées et le ressenti d’isolement, solitude, si fréquemment décrit ?

 

4 A partir de la cinquantaine, et au-delà, faut-il rester en solo ou aller vers une nouvelle vie en couple ?

 

5/Résumé

 

6/ Précédents articles.

 

7/ Contacts.

 

 

1/Introduction :

 

Né en 1955, célibataire, je vis en ville, en retraite anticipée pour cause de maladie.

 

Un équilibre de vie peut être trouvé, retrouvé ou gardé par certaines modifications de vie, ou prises de conscience qui nous permettront de nous sentir bien dans notre peau dans de telles situations .

Un volet de notre vie se termine, un autre s’amorce, à nous de l’ouvrir de la meilleure manière possible, avec des éléments qui nous sont mis à notre disposition.

 

Quelques raisons m’ont amené à rédiger cet article :

·       Arrêt de travail et désir d’activité,

·       Envie de garder une vie sociale positive,

·       Souhait de ne pas sombrer dans la dépression suite à l’arrivée de mes « 50 » ans

·       Découverte de la vie plus relaxe, non plus basée sur la montre, tout en gardant un certain rythme toutefois

·       Soutien des autres pour trouver des idées telles quelles.

 

2 Aperçu général :

 

A/ Maintien d’une certaine régularité :

 

·       Continuité des activités dans la vie journalière.

·       Heures relativement matinales pour « sortir de son lit » afin d’éviter des réflexions inutiles.

Celles-ci risqueraient de nous conduire à méditer abusivement sur le passé.

 

B/ Modifications des contacts :

 

·       Recherche autour de soi pour en trouver de nouveaux. Une sortie de chez soi est une occasion de plus de rencontrer quelqu’un.

·       Visite sur internet, source d’information dans la région.

 

Etant donné l’élargissement de notre cercle de relation, nous pourrions même envisager des rencontres chez l’une ou l’autre des nouvelles connaissances. Cela permettrait de donner des possibilités à des personnes avec des problèmes de communication ou financiers d’y participer. Des échanges pourraient s’orienter dans la ligne des évènements de la vie journalière, des jeux de société, d’un film vidéo, et ce autour d’une collation.

 

C/ Occupations différentes de nos journées :

 

o   -Tout d’abord, dans la mesure du possible, garder quelques heures de travail rémunéré. Celui-ci peut nous aider à faire la transition entre notre emploi et notre vie actuelle.

(Pour une femme, la garde d’un enfant quelques heures par semaine, par exemple)

 

o   –Perfectionner notre vie familiale.

 

o   -Faire notre choix entre :

 

·       Les visites de lieux touristiques, musées, etc.

·       Les activités :

o   manuelles à notre domicile ou chez des connaissances : jardinage, bricolage, cuisine chez soi, etc.

o   sportives : clubs de marche (Ordinaires ou basées sur l’environnement), clubs de pétanque, de gymnastique, cours de yoga, etc.

·       Le bénévolat :

§  Soutenir:

o   les personnes seules, en clinique, en maison de retraite ou chez elles pour leur donner des repas, leur apporter des livres, leur tenir compagnie et les écouter,

o   les actions en faveur du tiers monde, par la vente d’articles, la tenue d’un magasin,

o   les handicapés ou/enfants à problèmes par l’organisation d’un repas, d’une soirée ou d’un voyage.

§  Donner des cours d’informatique à des débutants.

§  Organiser un atelier de poésie, dessin ou peinture avec des enfants, des personnes seules

 

·       La participation à des conférences avec débats. (Celles-ci peuvent occuper nos soirées et nous aider à rester dans la ligne de nos connaissances intellectuelles, sociales entre autre autres).

·       La remise de notre vélo en service,

·       Le retour à pied pour faire une part de nos achats,

·       L’adhésion à divers groupes d’apprentissage, étude et approfondissement des dons que nous pouvons avoir.

Céramique, guitare ou instrument de musique, connaissance des langues, couture, botanique, pêche, par exemple.

·       La création de nos propres programmes informatiques selon ses capacités

·       Le choix de bonnes émissions  à la TV.

 

 

D/ Informations auprès des responsables des activités.

 

·       Les syndicats d’initiative, les clubs sportifs, les associations de soutien au développement, l’accueil des cliniques, les mairies, entre autres, peuvent être sources de renseignements.

·       La majorité des départements ou associations offrent également un site avec un guide, accessible sur internet, pour avoir des informations sur les activités de la région.

Entre autre:

 

http://www.annuairedutourisme.fr/cartes_de_france_des_offices_de_tourisme.html

 

http://www.clong-volontariat.org/php/liens.php

 

http://www.francebenevolat.org/benevoles

 

http://www.onvasortir.com/

 

http://forum.doctissimo.fr/psychologie/amitie-rencontres-ville/liste_sujet-1.htm

 

http://www.se-faire-des-amis.com/?source=15

 

http://www.federationpeche.fr/infos_dept.php

 

Etc.

 

Avec ces informations personnelles, j’espère que vous pourrez retrouver les annonces les plus favorables pour cheminer dans une vie différente, mais pas moins riche pour autant.

Avec un peu de bonne volonté, nos recherches peuvent être plus faciles que l’on ne pourrait le penser.

Les premiers pas sont plus difficiles, car il faut trouver « Sa » place, mais notre enquête ne sera certainement pas vaine.

 

 

3 Pourquoi existe-t-il un grand décalage entre toutes ces possibilités d’insertion affichées et le ressenti d’isolement et de solitude si fréquemment décrit ?

Plusieurs grandes causes ont conduit à la « solitude ». Entre autre, conflits dans les familles, enfants plus éloignés pour études supérieures, chacun sa TV, chômage donc révolte, indifférence actuelle, désir de ne plus prendre ses parents à la maison.

Tout le monde veut son « chez-soi » et affirme plus tard se retrouver « seul ».

Comme ces changements sont survenus rapidement, les gens ont été ébranlés par leur solitude. Ils n’ont su la prendre en main.

Suite à cela, ils se dirigent vers le médecin, et les médicaments.

 

Disons que la majorité des personnes vivant seules :

·       d’une part, veulent absolument garder leur autonomie,

·       d’autre part crient « Au secours » car elles se sentent isolées.

Si les différentes mentalités et situations ont amené cet isolement, il faudra retrouver des activités comme celles précitées afin d’en sortir.

 

La découverte de ces problèmes, l’acceptation de certaines modifications de vie, pourront améliorer voir éliminer une part des problèmes de solitude, voir même de dépression.

 

Cela ramènera aussi le bien-être dans la vie des gens. Ils vivront encore seuls à certains moments, mais sans se sentir délaissés de par leurs relations de la journée, appels téléphoniques ou TV le soir. Ils n’en seront plus esclaves, au contraire du passé, mais elle deviendra un agrément qui pourra compléter les journées de chacun.

 

Il faudra donc faire une transition entre :

·       le « Pourquoi » : ça m’arrive, pourquoi à moi, je me sens toujours aussi seul, suis-je malade et pas lui, etc.

 

·       le « Comment » : je peux réorganiser ma vie, mes journées, retrouver des contacts, accueillir l’un ou l’autre, offrir mes capacités aux autres, etc.

 

Tout en tenant compte que :

 

·       d’une part les personnes isolées soient au courant des méthodes ou possibilités d’écartement d’une bonne part de solitude de la vie.

Il faut donc les faire connaître, par la presse, Internet, les mairies, pour permettre à ceux qui en ont le besoin d’en disposer au moment voulu.

Quelques subsides publics ou privés pourraient même être mis à leur disposition.

 

·       d’autre part, la bonne volonté de l’un et de l’autre est nécessaire.

 

4. A partir de la cinquantaine et bien au-delà, est-il préférable de rester en solo ou aller vers une (nouvelle) vie en couple ?

 

Tout d’abord il faut voir si la vie en solo est une situation voulue ou subie.

 

·       Dans le cas où une personne voulait rester seule, elle pourrait essayer de changer sa façon de vivre et de trouver un(e) conjoint (e).

Je dis bien essayer, car son caractère, ses habitudes, devront se prêter aux possibilités présentes. (Accepter les enfants du conjoint…).

S’il (elle) ne trouve personne avec qui terminer sa vie, il sera tout de même plus facile de l’accepter, étant donné qu’il (elle) connaît cette façon de vivre.

 

·       Par contre, lorsqu’une personne ayant son conjoint décédé ou parti pour cause de séparation, l’obligation de vivre en solo serait plus difficile à accepter.

 

Retrouver l’âme sœur  a donc une plus grande importance.

 

Dans un cas comme dans l’autre le choix ne sera pas donné, il faudra vivre seul.

Des possibilités devront être trouvées pour mieux vivre cette « solitude » choisie ou non.

 

Par exemple, nous pourrons rechercher des contacts fréquents, voir journaliers, dans le but de partager un maximum d’idées, de problèmes, de projets, qui ne doivent pas nécessairement se vivre en couple ou jeune.

 

5 Résumé.

 

Malgré un passage parfois difficile vécu chez les célibataires, veuves ou veufs arrivant à 50 ans, vivant seuls et sans emploi, nous découvrons des clés à nos recherches pour vivre assez agréablement.

Encore faut-il frapper à la bonne porte pour trouver ce qui se rapproche le plus de nos désirs.

Il sera peut-être utile de tenter différentes enquêtes. Nous pourrons également les jumeler pour éviter un découragement ou une lassitude, nous reconduisant sur les chemins de l’ennui ou la solitude.

 

6.  AUTRES ARTICLES


De Vincent Gilbert:

 

Équilibrer sa vie relationnelle et sociale active en vivant seul et sans emploi, à 50 ans,


Équilibrer sa vie relationnelle et sociale active lors d'un vieillissement seul (e) et en situation de handicap physique et/ou mental et/ou social,


Choisir parmi plus de 50 citations pour sa vie en positif,


L'aide aux malades; Comment les entourer et les assister,


L'échange, conditions d'épanouissement,

 

.Etre de bonne compagnie avec soi-même, en vue de bien vieillir.

 

7. CONTACTS

 

Pour prendre contact avec Gilbert Vincent, passer par le webmestre à l’adresse: bienvieillir@sfr.fr