http://anti-solitude.pagesperso-orange.fr/ Collaborations, Echanges

 

Henri Charcosset, charcosset.henri@orange.fr

 

Janvier 2017. Page appelée à être très évolutive

 

 

Depuis 2005, j’ai toujours trouvé facilement, l’aide souhaitée en informatique et en traitement de texte. Il s’agit dans presque tous les cas de relations à distance, sans que l’on se connaisse personnellement. C’est à noter ! Je remercie vivement, toutes ces personnes.

 

 Par contre, je n’ai pas su ou pu, motiver les collaborations que j’aurais souhaitées, essentiellement faites de documentation, à un niveau accessible au plus grand nombre. .

 

On peut certes m’adresser des projets d’articles, finis ou en construction.

 Mais de simples références, bouts d’articles et autres partages  de connaissances, réflexions, sont appréciés.

 

Par exemple, où en est-on de l’aide à l’anti solitude par l’Internet, pour nos concitoyens vivant dans la grande pauvreté, voire dans la rue  ou encore en prison ?

 

Qu’en est-t-il de l’entrée de l’Internet dans nos résidences pour personnes âgées, ou handicapées ?

Un temps de télé bénévolat social pourrait être proposé à un bon nombre, pour aide morale auprès de nos concitoyens au chômage prolongé, ou en maladie longue durée, ou encore en ressenti  de solitude aigüe.

 

 Sur les forums de Doctissimo.com, avec le pseudo BeeGee69, Bernard Gaudon ( 1945- 2014), a laissé 3452 messages. J’en suis, moi-même sous le pseudo henri69, à plus de 8000 messages. Ces modestes contributions de gens bien plus âgés, auprès de personnes en grandes difficultés pour des raisons variées, sonnent  encore bien trop comme des espèces rares. L’Internet est pourtant là pour qu’on ne laisse personne isolé dans ses problèmes.     

 

Des sujets un peu plus fondamentaux, tout en état accessibles à chacun acceptant de se distancier par rapport à sa propre vie, doivent être abordés sans complaisance. Le principal concerne la définition du concept de validité versus invalidité de la personne. Jusqu’à présent on en est resté au niveau de la compensation des handicaps. Mais cela ne concerne que l’homme fonctionnel, celui qui se déplace, équipé de moyen de locomotion approprié, à défaut de pouvoir se mouvoir par ses propres moyens.

Dès lors que l’on passe au niveau de l’être social, qui est-il handicapé ? qui pourrait-il prétendre à être valide ? On lira avec intérêt sur cette question l’article témoignage de Jean-Marie Gros, paru en 2016, CLIC