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Vers une insertion mutuelle entre personnes handicapées ou non

 

ACCOMPAGNER ET SOIGNER n° 35-1998, pp 15-24.

 

Henri CHARCOSSET*, retraité de Directeur de Recherches au CNRS (Chimie)

 

INTRODUCTION

 

Né dans une ferme,  de parents cultivateurs.  Atteint par la polio à 17 ans (épidémie de 1953), deux ans à l'hôpital Raymond Poincaré à Garches. Études scientifiques et carrière de chercheur au CNRS (chimie). Puis bénévolat inter-associatif depuis mon domicile sur des sujets de Recherche Insertion : Groupe Français d'Entraide Post-Polio ; Etude sur la vie associative depuis le lieu de résidence, comme moyen d'insertion sociale.

A Garches, j'ai côtoyé des centaines de paralysés, polios surtout, le plus souvent très jeunes, des accidentés, des personnes atteintes au plan neurologique. J'y ai été hébergé en dortoir à 22 lits (tranche d'âge de 16 à 40 ans environ ; tous milieux socioprofessionnels représentés : paysan, avocat, séminariste, etc ...). Le premier mois de séjour passé, tous ces membres moteurs paralysés autour de moi, cela n'a jamais été ma passion première. Ce qui m'intéressait fortement, par contre, c'était la grande variété de réaction face à la paralysie de ces jeunes adultes autour de moi. C'est de là que vient mon intérêt pour le handicap en tant qu'expérience de vie.

 

LE MODÈLE MÉDICAL DE TRAITEMENT DU HANDICAP

 

 Il s'est développé surtout à partir des années 80, avec la Classification Internationale des Handicaps. On y trouve l'enchaînement : Cause -> Déficiences -> Incapacités -> Désavantages. Les désavantages étant à compenser, d'où la notion de handicap. Exemple : Accident -> Lésions de la moelle épinière -> Incapacité de marcher et autres ->Désavantages évidents.

Plus récemment, ce modèle est apparu utile au Secteur social. Exemple : Le chômage de longue durée. Cause : Enseignement -> Déficiences dans les connaissances acquises -> Incapacités (par exemple à calculer) -> Désavantages pour tenir un emploi stable, etc..

Si un patient a de la température en permanence - ou pendant des mois n'a aucune envie de vivre - ou encore n'a pas de quoi se nourrir, se vêtir, etc.. cela ne peut pas favoriser une vie constructive un tant soit peu conséquente. L'importance de ce modèle médical gagne donc à être rappelée ici, en tout cas pour les handicapés neurologiques. La plupart rapportent des phénomènes de douleurs et de fatigabilité, que l'aménagement de la Cité et l'adoption d'aides techniques ne suffisent pas à compenser totalement. Poursuivre la recherche médicale s'impose bien évidemment.

Mais un handicap sévère, relativement maîtrisé aux plans qui précèdent, n'empêche pas une vie intérieure, et l'influe. D'après le livre de Bertrand BESSE-SAIGE, tétraplégique par accident

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*22 av. Condorcet, 69100 Villeurbanne, France

 

depuis dix ans, «Le Guerrier Immobile» (référence 1) : «Mon intellect ...est sans doute le seul organe à mieux fonctionner depuis mon accident. Penser développe un recentrage en soi-même et une indéniable capacité à se situer et à s'organiser, mais est aussi un moment de disponibilité pour les autres et pour observer...».

Dans la vidéo-cassette d'Arlette LOHER (référence 2), j'extrais un bout de témoignage de Christine (environ 25 ans), infirme moteur cérébral (IMC), en fauteuil roulant électrique. Elle a une élocution difficile et, en parlant à une de ses amies IMC, elle lui dit : « c'est à se demander s'ils acceptent les handicapés... les valides, je me demande comment ils voient le monde des handicapés... je me suis toujours posé la question et je me la poserai toujours, même au niveau de ma famille. Je ne suis pas un chat, un chien, je ne suis pas un animal... » Christine ne semble pas avoir un niveau d 'éducation scolaire bien conséquent... qu'à cela ne tienne, son raisonnement est bon. Elle a la potentialité de devenir une très bonne collaboratrice pour la Recherche Insertion. La pratique - le travail expérimental en somme - elle connaît, c'est sa vie. A un zeste de théorie, elle serait tout à fait accessible.

A PARTIR DU MODÈLE MÉDICAL, AU-DELÀ  ALLER

 

Le handicap chronique, quand il nous atteint, est l'une des expériences de notre vie... Vie s'oppose à mort; le paralysé par accident le sait très bien.

La plupart des expériences de notre vie nous forment, nous valident et nous dé-forment, nous in-valident ou vice-versa. De toute manière, l'être humain est comme un amputé ; chaque jour qui passe le prive d'un de ses jours à vivre. Ces amputations successives s'accompagnent d'un accroissement de sa valeur cumulée.

Prenons l'exemple de nos études... elles nous forment, oui, nous dé- forment aussi ? Surtout si elles sont longues, plus théoriques que pratiques ? Aucun de mes ascendants directs n'a dépassé le niveau du Certificat d'études primaires ; ce que j'ai à redouter par rapport à eux, c'est déjà une perte de bon sens. Ne nous menace-t-elle pas tous, nous autres, les intellectuels ? Les côtés négatifs du handicap, nous en traitons, sur- traitons parfois, les côtés positifs nécessairement associés à ces expériences de vie particulières, nous les ignorons... C'est sans doute que, je cite Henri-Jacques STIKER (référence 3), «Il y a, au coeur de la volonté intégrative, l'esquisse d'un grand geste de dénégation, d'effacement. On est ainsi tenté d'oublier la différence, tout aussi bien que la souffrance et la spécificité de l'expérience. On peut re- exclure de manière subtile, par indifférence. Ainsi le modèle du handicap se heurte à des contradictions».

Une deuxième insuffisance qui probablement résulte de nos études, se rattache à la spécialisation. On notera que je raisonne pour l'insertion à la manière d'un physicochimiste dans un laboratoire de recherches. Le point- clé c'est alors l'expérience, le rattachement du résultat à faire avec les études réalisées dans le passé, la projection qu'il y aura à en faire pour les travaux à venir. Comment raisonnerais-je si, au lieu d'avoir «fait », maths-physique-chimie, j'avais « fait » sociologie ? Autrement, c'est sûr... Je crois à l'importance pour la Recherche Insertion, de l'interdisciplinarité poussée à l'extrême, par rapport à celle que je pratiquais au CNRS quand je m'investissais pour la recherche sur la Science des Charbons, et de celle d'un vécu concret du sujet dont on traite. (A défaut : être très sensibilisé à la relation avec les gens  « en situation ». Je propose à réflexion que le modèle médical- Cause -> Déficience -> Incapacité -> Désavantages (sources de handicap) - puisse être appliqué à des situations non pathologiques de notre vie courante. Exemple à titre exploratoire : le cas de Christine. Tous les gens qui la considèrent comme un animal ne sont ni bêtes, ni méchants ; ils sont non éduqués à ce que le handicap est, par manque d'éducation familiale et scolaire, à savoir : déficience, incapacité et désavantages par rapport à l'homme normal, supposé vouloir une société faite pour tous.

Chacun pourra s'exercer à ce genre de réflexion pour lui-même, pour, à partir de là, au-delà aller... Tout le monde, un peu sensé, sera bien à peu près d'accord : nous sommes tous des handicapés, avec la connotation positive à y rattacher (possibilité de compensation, voire de dépassement).

LA OU LE HANDICAP EST ÉLÉMENT DE QUALIFICATION

Exemples : Je cite ici des expériences personnelles, extraites de la littérature récente. Je reproduis d'abord un extrait de l'article de Florence CHOMARAT (référence 4), sourde, formatrice en langue des signes, responsable de l'Association « Créer des liens avec les Entendants », professeur spécialisé pour l'éducation des jeunes sourds : « En ce qui me concerne, il est clair, et l'évidence s'en impose à moi avec de plus en plus d'acuité, que rencontrer mes amis sourds et travailler avec des enfants sourds, m'est aussi essentiel que de respirer. C'est du même ordre : vital. Rencontrer mes amis Entendants, prendre place dans la Société à travers diverses activités, participe tout autant de mon équilibre personnel. Ainsi, je me promène et je traverse le pont au gré de ma fantaisie et des contraintes. Chaque rive m'est nécessaire. Je ne puis rester trop longtemps sur aucune des deux sans me sentir bientôt en manque de l'autre. Ceci est ma richesse mais c'est mon interrogation essentielle aussi, car je ne sais m'identifier ni à un monde, ni à un autre. J'appartiens fondamentalement aux deux ». On note le caractère totalement biculturel de l'auteur (handicapé avec engagement associatif, et autre). Un genre de formation vers lequel engager nos nouveaux handicapés, au niveau intellectuel où ils le peuvent, on s'entend.

Louise-Marie AVRIL (référence 5) est paraplégique par accident depuis l'âge de 11 ans, diplômée de psychologie, titulaire d'un doctorat. Elle exerce comme formatrice de personnels, pour la vie autonome de personnes handicapées, auprès du GIHP.

Pierre BRUNELLES, paralysé polio et docteur en psychologie clinique, avance dans son ouvrage (référence 6) des considérations peu habituelles sur le travail de deuil pour vivre la paralysie : «  Vouloir anéantir l'épisode biographique qui l'a rendu différent (le paralysé) est une gageure. Pire, ce serait une mutilation supplémentaire car on ne brise pas le fil qui relie un individu à son passé... Il n'y a pas de deuil à accomplir, de désirs anciens à refouler mais une personnalité à exprimer... »

L'auteur ajoute : « S'il n'y a pas d'intégration sociale, les loisirs sont impensables... L'occupation du temps libre, chez les personnes à mobilité réduite, n'est pas sans poser des problèmes bien délicats, parfois bien cachés ». L'avis, ici exprimé sur le travail de deuil, ne saurait faire référence plutôt qu'un autre, sans doute. Le fait que l'auteur soit à la fois expérimentateur et théoricien de son sujet, a son poids quand même. La situation est analogue dans un laboratoire de physicochimie. Entre un chercheur théoricien du fonctionnement d'un microscope électronique et un chercheur, qui, en plus, est un expérimentateur patenté, il y a plus que des   nuances.

Josiane CRISCUOLO (référence 7) nous offre sa méditation ... Les personnes handicapées crient: « Cette musique qui nous habite, nous voulons vous la faire entendre. Alors, venez nous donner la main et vous saurez que nous ne sommes pas une écharde plantée au coeur de la société mais la flamme de l'avenir ». L'auteur, tétraplégique, dépendante du poumon d'acier pour les nuits, est chercheur au CNRS (Lettres) et a un engagement associatif reconnu. Comment dire ? La personne handicapée est la flamme possible de l'avenir, la personne valide, normale, n'existant guère. A l'orée du troisième millénaire, pourrait-on réduire, en effet, la notion de validité, normalité, à des valeurs d'une relative trivialité, telle l'autonomie pour les gestes de la vie quotidienne ?

De Bertrand BESSE-SAIGE, déjà cité (voir référence 8) : « Vivons ensemble nos différences et faisons de nos handicaps un moteur ». L'auteur a créé et dirige l'Institut « Vivre et s'adapter » (au handicap). Avec Franck DUPREZ (référence 9), paraplégique par accident, nous voyons que sa paralysie le qualifie pour la vente «d'outils d'indépendance» et aides techniques.

Des non-handicapés auraient-ils parfois à se situer comme handicapés par rapport à des handicapés reconnus Oui, et alors : avantage ou inconvénient ? Avantage : le sachant, s'admettant handicapé ouvre à vouloir compenser. Comment ? Ici, en s'assurant le concours, la collaboration de handicapés reconnus.

L'ENFANT  HANDICAPE  TEL  L'ENFANT  HYPER DOUE

Ma réflexion va dans le sens de:

*Considérer l'enfant handicapé (1) au même titre que celui qui est très doué pour les disciplines sportives ou artistiques (2) ou bien pour les matières scolaires classiques (3).

* Les préparer tous comme de futurs agents de production, à dominante respective :

1- Produire du lien social, de la cohésion sociale.

2- Nous procurer des plaisirs sains (exemple des champions de football et de cyclisme sur piste, été 98).

 3- Produire des biens et des services.

* L'éducation est à pratiquer, tout autant que faire se peut, dans le milieu scolaire habituel.

L'EDUCATION   SPÉCIFIQUE   POUR   L'ENFANT, ADOLESCENT, JEUNE ADULTE, HANDICAPE

 

Au vu de son rôle potentiel prioritaire évoqué en (1) (créer du lien social), le handicapé jeune gagnera à acquérir une formation spécifique dans deux directions : - initiation théorique et surtout pratique à la vie associative vue au sens très large du terme. - initiation de base aux théories sur l'insertion, en vue de collaborer à leur progression. Pour ces enseignements, un rôle particulier revient aux Associations et autres Collectifs où des spécialistes des Sciences Humaines s'impliquent dans l'interface entre L'Université et tous les milieux des handicaps. Faire donc d'un handicap, qui n'a pas été choisi, certes, mais qui est, et cela pour le reste de la vie, une réelle qualification... laquelle n'exclut pas d'autres qualifications, bien au contraire.

ÉVOLUTION DES THÉORIES DE L'INSERTION

En se reportant à Henri-Jacques STIKER (référence 3) : « La genèse du champ du handicap se rapporte aux événements successifs : le problème des accidentés du travail, qui devient majeur à la fin du 19ème siècle - l'hécatombe de la guerre 1914-1918 - la voix des tuberculeux - les conséquences de l'école obligatoire ». Dans les années 20-30, le vocabulaire change pour passer progressivement des mots « défectifs » (in-firme, im- potent, in-capable, im-bécile, in-valide,... ) à des mots de retour (reclassement, ré-adaptation, ré-insertion, ré-éducation,... ) ». Le vocabulaire du handicap au sens médical ou médico-social est apparu dans les années 50-60. Dans un Centre de Rééducation des années 50, la théorie de la (ré)insertion tenait en un mot : COMPENSATION. Compenser tous les muscles manquants par ceux récupérés souvent très partiellement. Compenser l'orientation initiale vers des métiers manuels par une orientation vers des métiers plus adaptés (comptabilité, enseignement... ). Des conditions psychologiques particulières faisaient que les « polios » les plus volontaires jouaient le rôle d'entraîneurs pour ceux qui l'étaient moins : de la psychologie de la (ré) insertion un peu rudimentaire, pourrait-on dire aujourd'hui. Depuis cette époque, les théories ont progressé et sont au nombre de trois, semble-t-il:

1- Assimilation-Accommodation

Elle aboutit, dans la tolérance, à une certaine forme d'acceptation résignée du handicap. Elle conviendra souvent bien pour des handicaps acquis assez tard dans la vie.

2- L'Insertion-Assimilation

Elle est d'inspiration anglo-saxonne; elle est sous tendue par l'idée que le handicapé serait comme les autres dans un environnement modifié. Modifier l'environnement pour le rendre accessible aux handicapés, très certainement oui...   mais, (re)devenir comme les autres ? Qui sont ces autres ? Ne sont-ils pas tout simplement des handicapés qui s'ignorent ?

 

3- Insertion-Adaptation réciproque

Elle est d'inspiration italienne et centrée sur la reconnaissance de la différence irréductible et la valorisation des forces qui coexistent dans tout individu. L'image du handicapé, avec ses spécificités, y est intégrée à l'image de l'homme. Elles débouchent sur un rôle actif du handicapé au sein d'une relation d'aide réciproque. Comme le font remarquer Vincent BRUN et al (référence 10), les trois modèles ne s'excluent pas mutuellement mais sont complémentaires. Selon moi, sauf situation et cas d'espèce bien sûr, le modèle (3) est le plus riche de perspectives. L'approche que je décris précédemment, s'y raccorde aisément (il s'agit de cultiver la spécificité du handicapé).

VERS   L'INTERDEPENDANCE   RECIPROQUE   ENTRE   LES  Ê T R E S

La Recherche Insertion doit évoluer dans le sens de trouver les moyens « de faire place à des relations en interdépendance réciproque» entre les êtres, tous les êtres. Marie Louise PELLEGRIN-RESCIA (référence 11). Sachons procurer à nos nouveaux handicapés la formation qui leur permette de remplir ce nouveau rôle. Ils en sont parfaitement capables y compris les pluri-handicapés en association avec leurs proches.

REMERCIEMENTS

Je remercie Jacqueline GONNET, ma compagne, et René SCHALLER, psychologue, pour une lecture critique et constructive de mon texte.

 

 

 

RÉFÉRENCES

 

1 - Bertrand BESSE-SAIGE, dans «Le guerrier immobile » Epi. Desclée de Brouwer, 1993.

2 - Arlette LOHER, « Regards croisés » Production A.P.E.A. - Redon et APF, ATTOT-VIDEO, Redon (35), 1997.

3 - Henri Jacques STIKER, «Aspects socio-historiques du handicap moteur», dans « Déficiences motrices et handicaps » APF-Ed. l996, p. 22-29.

4- Florence CHOMARAT, « Forger son identité », dans « Naître ou devenir handicapé. Le handicap en visages »  ERES - Charles Gardou et Coll. Ed., 1996, p. 41-55.

5- Marie Louise AVRIL dans « Handirect  Rhône-Alpes », mai 1998, p. 17.

6- Pierre BRUNELLES, « Comment vivre avec une personne atteinte d'un handicap moteur », APF - Ed. Josette Lyon, 1991, remise à jour 1996,

7 - Josiane CRISCUOLO, «  Pensées et Aphorismes », 1997, disponible auprès de l'auteur - Gui de Chauliac - Bât 300 - BP 5057 - 34033 Montpellier cedex 1 (60 FF, port inclus).

8 - Bertrand BESSE-SAIGE, « Transformer le handicap en moteur », dans l'ouvrage cité en référence 4, p. 179-192.

9 - Franck DUPREZ, dans «  Faire Face », septembre 1998, p. 40-41.

10 - Vincent BRUN et al, « Le Centre de Rééducation Fonctionnelle serait-il un obstacle à la réinsertion sociale ? », J. Réadapt. Med., 1992, 12, n° 4, p.133-136.

11- Marie Louise PELLEGRIN-RESCIA, « Handicaps et exclusion sociale» dans « Accompagner et Soigner), 1996, n° 27, p. 19-28.

 

NOTE : La revue trimestrielle : « Accompagner et Soigner » est éditée par l’association : « Accompagnons la Vie », 67 bis rue de Marseille, 69007 Lyon, France. Tel : 04 78 72 48 56. Fax :04 72 71 35 97.