Novembre 2009, ACTUALISE EN AOUT 2018

 

 

LES  CLIC – Faire face aux difficultés liées à la vieillesse

 

Christiane Bedouet –  novembre  2009

 

temps-grands-parents@orange.fr

 

Publications de Christiane Bedouet  sur ce site regroupées à l’adresse web CLIC

 

 

         La recherche et les découvertes médicales des dernières décennies ont contribué à un allongement de la durée de vie, ce dont on peut se réjouir.

         Revers de la médaille : avec cet allongement de la vie apparaissent davantage de problèmes liés à la dépendance. Comment résoudre ces problèmes quand les enfants sont pris par leur travail et leur propre famille, ou lorsqu’ils habitent loin de leurs parents ?

         On se sent souvent démuni lorsque la maladie handicapante fait son apparition. Or ces moments seraient un peu moins difficiles à vivre si l’on connaissait les aides dont on peut bénéficier, si l’on connaissait les organismes susceptibles de nous guider.

         Parmi ceux-ci, on peut citer les CLIC que nous présenterons ici d’une manière générale d’abord. Puis nous ferons un zoom sur le CLIC de L., une petite ville de dix-huit mille habitants environ.

~~~~~~~~

I – Qu’est-ce qu’un CLIC ?

 

         Un CLIC est un Centre Local d’Information et de Coordination pour les personnes âgées et leur famille. Il s’agit d’un guichet unique auquel les usagers peuvent s’adresser gratuitement pour toutes leurs démarches, au lieu de devoir courir vers les différentes structures éclatées d’aide sociale et médicale.

         Les premiers CLIC ont été expérimentés en 2000 et il en existe aujourd’hui plus de cinq cents en France. La plus grande partie du territoire est donc couverte si bien que l’on en trouve pratiquement toujours un non loin de chez soi.

Les CLIC sont gérés, pour la moitié environ, par une association, ou bien par une commune ou un CCAS (Centre communal d’action sociale), par un établissement hospitalier ou un Conseil Général.

 

Quels professionnels rencontre-t-on dans un CLIC ?

-  Une personne chargée de l’accueil

- Un coordinateur dont le rôle est de mobiliser les différents acteurs médico-sociaux pouvant répondre aux besoins de la personne âgée

-  Des assistantes sociales et autres personnels médico-sociaux.

 

Que peut-on attendre d’un CLIC ?

 

Tout d’abord des informations et des conseils. Par exemple, Mme D. a fait un AVC (accident vasculaire cérébral) qui a laissé des séquelles : elle est maintenant hémiplégique. Cela entraîne une dépendance faisant qu’elle ne peut plus rester seule chez elle. Sa fille, Mme G., travaille et a une famille ; de plus elle n’habite pas tout près de chez sa mère. Elle se trouve tout à fait désemparée lorsque Mme D. veut rentrer dans sa maison après son hospitalisation. Que faire ?

 

Le médecin lui parle alors du CLIC.

Mme G. prend un rendez-vous auprès de la personne chargée d’accueil  et rencontre l’assistante sociale dans les jours qui suivent.

Là, tout d’abord, on l’écoute pour bien cerner la situation.

Puis on l’informe des droits de sa mère et des possibilités en matière d’aide financière et d’intervention des services d’aide à domicile et soins infirmiers, pour que Mme D. soit prise en charge chez elle.

On lui donne la marche à suivre et les dossiers à remplir pour faire une demande d’APA (Aide personnalisée à l’Autonomie) auprès du Conseil Général qui accorde cette aide financière en fonction des ressources de la personne âgée.

On met en relation Mme G. avec le Comité d’entraide de la commune de sa mère. Là, celle-ci est inscrite pour qu’interviennent chez elle des aides-soignantes, auxiliaires de vie, etc., qui l’aideront dans les gestes de la vie quotidienne qu’elle ne peut accomplir seule : toilette, transferts du lit au fauteuil roulant, repas, courses…

 

Il faut savoir que les CLIC sont classés selon trois niveaux de label :

 

- Le CLIC labellisé niveau 1 dispose d’un local de permanence et d’un standard téléphonique. Il a pour mission d’accueillir, informer, écouter et apporter un soutien. Il peut fournir des dossiers de demande d’aides et de prestations.

- Le CLIC labellisé niveau 2 offrira, en plus, une évaluation des besoins et l’élaboration d’un plan d’aide personnalisé. Il pourra proposer également quelques services tels les groupes de paroles.

- Le CLIC labellisé niveau 3, en plus des services offerts par les niveaux 1 et 2, aidera les usagers à constituer leurs dossiers de prise en charge. Il mettra en œuvre les plans d’aide et de suivi. Il aura un rôle fédérateur dans l’organisation des interventions des différents services (aide à domicile et soins infirmiers, portage des repas, travaux d’aménagement du domicile, accueil de jour…).

 

II – Zoom sur le CLIC de L.

 

Le CLIC de L. est labellisé niveau 3. C’est une véritable plate-forme gérontologique : au volet social, qui faisait partie de ses premières missions, s’est ajouté un volet sanitaire : en s’adressant toujours au même guichet unique, les usagers peuvent aussi bénéficier maintenant du réseau de santé ; deux médecins et infirmières ont rejoint, à temps partiel, les locaux du CLIC et peuvent se déplacer à domicile pour une évaluation des besoins en matière de santé et la mise en œuvre des réponses à apporter ( ils ne remplacent en aucun cas les médecins et infirmiers personnels des usagers ).

 

Les deux volets (social et sanitaire) collaborent étroitement pour répondre aux besoins de la personne âgée et de son entourage.

L’assistante sociale reçoit, bien sûr, dans son bureau, mais elle se déplace également au domicile.

Ainsi peuvent être élaborés les plans d’aide.

 

Le CLIC de L. propose de nombreux services, notamment dans le cadre de l’accompagnement des pathologies dégénératives type Alzheimer et apparentées :

 

>Les ateliers de formation pour les aidants familiaux autour des thèmes suivants :

- « Mieux comprendre la maladie », formation animée par un médecin gériatre et une psychologue.

- « Adapter l’habitat » et prévenir les chutes, formation animée par une ergothérapeute.

- « Prévenir les risques de dénutrition » : une diététicienne et la psychologue du CLIC animent cet atelier où elles donnent les règles de base et quelques « trucs » pour une meilleure alimentation de la personne malade.

- « Savoir s’entourer pour mieux aider » : animé par la psychologue, l’assistante sociale et la coordinatrice du CLIC, cet atelier permet à l’aidant familial de s’exprimer et de réfléchir au fait qu’il peut, sans se culpabiliser, se faire aider pour accompagner son conjoint ou parent, afin de ne pas trop vite s’épuiser lui-même.

- « Apprendre les bons gestes » : une formatrice de la Croix-Rouge et une aide-soignante initient les aidants familiaux aux premiers secours et leur apprennent comment adapter les gestes du quotidien à la personne âgée.

 

>Les ateliers de formation au « toucher relationnel » :

  Animés par une sophrologue, ces ateliers s’adressent aux soignants mais aussi aux aidants familiaux. Il s’agit de leur permettre de continuer à communiquer avec le malade lorsque la communication verbale n’est pratiquement plus possible. Cela peut faciliter, par exemple, le moment des toilettes, ou apporter de l’apaisement au malade lorsqu’il se montre agité.

 

>Les ateliers « équilibre » :

  Ils sont animés par une titulaire d’un diplôme d’études supérieures en activités physiques adaptées : il s’agit de séances d’exercices pratiqués en petits groupes (ou individuellement à domicile) pour ceux qui ne peuvent pratiquer une autre activité physique. Ces ateliers contribuent aussi à la prévention des risques de chute.

 

>Les ateliers mémoire :

  Ces ateliers proposant deux niveaux sont animés par des bénévoles formés à cet effet. Ils consistent en des apports théoriques simples pour comprendre le fonctionnement de la mémoire et des exercices pour s’exercer à retenir en pratiquant une véritable gymnastique mentale.

 

>Les visites à domicile :

  Elles sont assurées par des bénévoles, généralement une fois par semaine. Il s’agit d’accompagner une personne souffrant de solitude (mais pas nécessairement) en lui consacrant un peu de temps pour échanger, partager une activité, sortir, etc. …  L’équipe de bénévoles est régulièrement encadrée et formée.

 

>Le café rencontre :

  Comme les visites à domicile, le café rencontre a pour but de prévenir la désinsertion sociale des personnes âgées. Il a lieu une fois par mois sur un thème correspondant aux centres d’intérêt des participants (traditions locales, loisirs, chansons…), autour d’un café ou d’un thé et de gâteaux.

~~~~~~~~

 

Voilà donc comment les CLIC peuvent être d’une aide considérable pour faire face à la dépendance liée à la vieillesse : en facilitant les démarches et la mise en place des plans d’aide, mais aussi en allant plus loin dans un accompagnement de la personne.

 

« Chaque homme porte en lui l’enfant qu’il a été et le vieillard qu’il sera un jour ». Cette phrase de Louis Vincent Thomas figure un peu comme une devise sur le site du CLIC de L. Elle exprime bien, me semble-t-il les valeurs communes sur lesquelles se fondent tous les membres de l’équipe. Ils travaillent à réunir pour la personne âgée les meilleures conditions possibles pour lui permettre d’être elle-même et d’avoir sa place, dans le respect de ce qu’elle a été, de ce qu’elle est aujourd’hui et de ce qu’elle peut devenir encore.

 

À NOTER : Depuis la parution de cet article, les CLIC ont été absorbés par Les Maisons du Département, Espace autonomie. On peut s’adresser à ce service de la Maison du Département pour obtenir des renseignements concernant les aides et les possibilités de maintien des personnes âgées à leur domicile le plus longtemps possible. 

                                                 

 

 

 

 

                                     

 

 

 

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 Novembre 2009

 

 

LES  CLIC – Faire face aux difficultés liées à la vieillesse

 

Christiane Bedouet –  novembre  2009

 

temps-grands-parents@orange.fr

 

Publications de Christiane Bedouet  sur ce site regroupées à l’adresse web clic

 

 

          La recherche et les découvertes médicales des dernières décennies ont contribué à un allongement de la durée de vie, ce dont on peut se réjouir.

          Revers de la médaille : avec cet allongement de la vie apparaissent davantage de problèmes liés à la dépendance. Comment résoudre ces problèmes quand les enfants sont pris par leur travail et leur propre famille, ou lorsqu’ils habitent loin de leurs parents ?

          On se sent souvent démuni lorsque la maladie handicapante fait son apparition. Or ces moments seraient un peu moins difficiles à vivre si l’on connaissait les aides dont on peut bénéficier, si l’on connaissait les organismes susceptibles de nous guider.

          Parmi ceux-ci, on peut citer les CLIC que nous présenterons ici d’une manière générale d’abord. Puis nous ferons un zoom sur le CLIC de L., une petite ville de dix-huit mille habitants environ.

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I – Qu’est-ce qu’un CLIC ?

 

          Un CLIC est un Centre Local d’Information et de Coordination pour les personnes âgées et leur famille. Il s’agit d’un guichet unique auquel les usagers peuvent s’adresser gratuitement pour toutes leurs démarches, au lieu de devoir courir vers les différentes structures éclatées d’aide sociale et médicale.

          Les premiers CLIC ont été expérimentés en 2000 et il en existe aujourd’hui plus de cinq cents en France. La plus grande partie du territoire est donc couverte si bien que l’on en trouve pratiquement toujours un non loin de chez soi.

Les CLIC sont gérés, pour la moitié environ, par une association, ou bien par une commune ou un CCAS (Centre communal d’action sociale), par un établissement hospitalier ou un Conseil Général.

 

Quels professionnels rencontre-t-on dans un CLIC ?

-  Une personne chargée de l’accueil

- Un coordinateur dont le rôle est de mobiliser les différents acteurs médico-sociaux pouvant répondre aux besoins de la personne âgée

-  Des assistantes sociales et autres personnels médico-sociaux.

 

Que peut-on attendre d’un CLIC ?

 

Tout d’abord des informations et des conseils. Par exemple, Mme D. a fait un AVC (accident vasculaire cérébral) qui a laissé des séquelles : elle est maintenant hémiplégique. Cela entraîne une dépendance faisant qu’elle ne peut plus rester seule chez elle. Sa fille, Mme G., travaille et a une famille ; de plus elle n’habite pas tout près de chez sa mère. Elle se

trouve tout à fait désemparée lorsque Mme D. veut rentrer dans sa maison après son hospitalisation. Que faire ?

 

Le médecin lui parle alors du CLIC.

Mme G. prend un rendez-vous auprès de la personne chargée d’accueil  et rencontre l’assistante sociale dans les jours qui suivent.

Là, tout d’abord, on l’écoute pour bien cerner la situation.

Puis on l’informe des droits de sa mère et des possibilités en matière d’aide financière et d’intervention des services d’aide à domicile et soins infirmiers, pour que Mme D. soit prise en charge chez elle.

On lui donne la marche à suivre et les dossiers à remplir pour faire une demande d’APA (Aide personnalisée à l’Autonomie) auprès du Conseil Général qui accorde cette aide financière en fonction des ressources de la personne âgée.

On met en relation Mme G. avec le Comité d’entraide de la commune de sa mère. Là, celle-ci est inscrite pour qu’interviennent chez elle des aides-soignantes, auxiliaires de vie, etc., qui l’aideront dans les gestes de la vie quotidienne qu’elle ne peut accomplir seule : toilette, transferts du lit au fauteuil roulant, repas, courses…

 

Il faut savoir que les CLIC sont classés selon trois niveaux de label :

 

- Le CLIC labellisé niveau 1 dispose d’un local de permanence et d’un standard téléphonique. Il a pour mission d’accueillir, informer, écouter et apporter un soutien. Il peut fournir des dossiers de demande d’aides et de prestations.

- Le CLIC labellisé niveau 2 offrira, en plus, une évaluation des besoins et l’élaboration d’un plan d’aide personnalisé. Il pourra proposer également quelques services tels les groupes de paroles.

- Le CLIC labellisé niveau 3, en plus des services offerts par les niveaux 1 et 2, aidera les usagers à constituer leurs dossiers de prise en charge. Il mettra en œuvre les plans d’aide et de suivi. Il aura un rôle fédérateur dans l’organisation des interventions des différents services (aide à domicile et soins infirmiers, portage des repas, travaux d’aménagement du domicile, accueil de jour…).

 

II – Zoom sur le CLIC de L.

 

Le CLIC de L. est labellisé niveau 3. C’est une véritable plate-forme gérontologique : au volet social, qui faisait partie de ses premières missions, s’est ajouté un volet sanitaire : en s’adressant toujours au même guichet unique, les usagers peuvent aussi bénéficier maintenant du réseau de santé ; deux médecins et infirmières ont rejoint, à temps partiel, les locaux du CLIC et peuvent se déplacer à domicile pour une évaluation des besoins en matière de santé et la mise en œuvre des réponses à apporter ( ils ne remplacent en aucun cas les médecins et infirmiers personnels des usagers ).

 

Les deux volets (social et sanitaire) collaborent étroitement pour répondre aux besoins de la personne âgée et de son entourage.

L’assistante sociale reçoit, bien sûr, dans son bureau, mais elle se déplace également au domicile.

Ainsi peuvent être élaborés les plans d’aide.

 

Le CLIC de L. propose de nombreux services, notamment dans le cadre de l’accompagnement des pathologies dégénératives type Alzheimer et apparentées :

 

> Les ateliers de formation pour les aidants familiaux autour des thèmes suivants :

- « Mieux comprendre la maladie », formation animée par un médecin gériatre et une psychologue.

- « Adapter l’habitat » et prévenir les chutes, formation animée par une ergothérapeute.

- « Prévenir les risques de dénutrition » : une diététicienne et la psychologue du CLIC animent cet atelier où elles donnent les règles de base et quelques « trucs » pour une meilleure alimentation de la personne malade.

- « Savoir s’entourer pour mieux aider » : animé par la psychologue, l’assistante sociale et la coordinatrice du CLIC, cet atelier permet à l’aidant familial de s’exprimer et de réfléchir au fait qu’il peut, sans se culpabiliser, se faire aider pour accompagner son conjoint ou parent, afin de ne pas trop vite s’épuiser lui-même.

- « Apprendre les bons gestes » : une formatrice de la Croix-Rouge et une aide-soignante initient les aidants familiaux aux premiers secours et leur apprennent comment adapter les gestes du quotidien à la personne âgée.

 

> Les ateliers de formation au « toucher relationnel » :

  Animés par une sophrologue, ces ateliers s’adressent aux soignants mais aussi aux aidants familiaux. Il s’agit de leur permettre de continuer à communiquer avec le malade lorsque la communication verbale n’est pratiquement plus possible. Cela peut faciliter, par exemple, le moment des toilettes, ou apporter de l’apaisement au malade lorsqu’il se montre agité.

 

> Les ateliers « équilibre » :

  Ils sont animés par une titulaire d’un diplôme d’études supérieures en activités physiques adaptées : il s’agit de séances d’exercices pratiqués en petits groupes (ou individuellement à domicile) pour ceux qui ne peuvent pratiquer une autre activité physique. Ces ateliers contribuent aussi à la prévention des risques de chute.

 

> Les ateliers mémoire :

  Ces ateliers proposant deux niveaux sont animés par des bénévoles formés à cet effet. Ils consistent en des apports théoriques simples pour comprendre le fonctionnement de la mémoire et des exercices pour s’exercer à retenir en pratiquant une véritable gymnastique mentale.

 

> Les visites à domicile :

  Elles sont assurées par des bénévoles, généralement une fois par semaine. Il s’agit d’accompagner une personne souffrant de solitude (mais pas nécessairement) en lui consacrant un peu de temps pour échanger, partager une activité, sortir, etc. …  L’équipe de bénévoles est régulièrement encadrée et formée.

 

> Le café rencontre :

  Comme les visites à domicile, le café rencontre a pour but de prévenir la désinsertion sociale des personnes âgées. Il a lieu une fois par mois sur un thème correspondant aux centres d’intérêt des participants (traditions locales, loisirs, chansons…), autour d’un café ou d’un thé et de gâteaux.

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Voilà donc comment les CLIC peuvent être d’une aide considérable pour faire face à la dépendance liée à la vieillesse : en facilitant les démarches et la mise en place des plans d’aide, mais aussi en allant plus loin dans un accompagnement de la personne.

 

« Chaque homme porte en lui l’enfant qu’il a été et le vieillard qu’il sera un jour ». Cette phrase de Louis Vincent Thomas figure un peu comme une devise sur le site du CLIC de L. Elle exprime bien, me semble-t-il les valeurs communes sur lesquelles se fondent tous les membres de l’équipe. Ils travaillent à réunir pour la personne âgée les meilleures conditions possibles pour lui permettre d’être elle-même et d’avoir sa place, dans le respect de ce qu’elle a été, de ce qu’elle est aujourd’hui et de ce qu’elle peut devenir encore.

 

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Voici deux liens qui permettront d’en savoir un peu plus et, notamment, de trouver les coordonnées du CLIC le plus proche de chez soi (sauf défaut de mise à jour du site) :

 

http://clic-info.personnes-agees.gouv.fr/clic/construirePageLogin.do

 

http://www.capretraite.fr/annuaire-clic.php